Charlie


J'aime les engins agricoles.J'ai dix ans Mes couleurs préférées sont le vert, le orange, le rouge. J'aime les camions. J'ai un chien qui s'appelle Joker : c'est un labrador croisé berger Allemand. Il est couleur sable. Il a eu six ans en août.

 

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mes dessins.

le tout terrain forestier

la rivière

 

mes inventions mathématiques

machine à mesurer les carrés ou rectangles

exposés

Le DAF 95 XF

Avec Papy.

Il y a six jours je suis allé avec Papy emmener le triqueballe en tracteur. On l'a bien calé.

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mes vacances


J'ai fait de la marche, du quad. Je suis allé voir les tremplins olympiques.
J' ai vu des messieurs sauter. Je suis allé voir des petits villages. J'ai vu un tracteur Mercedes.

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Le cheval et le camion

Il était une fois un cheval qui ne voulait se faire monter que par son cavalier préféré. Il faisait tout ce qu'il lui demandait. Quand c'étaient les autres non. Il avait quatre ans.
Mais le cavalier avait une autre passion : c'étaient les camions. Il passa des examens et il devint routier. Il transportait des chevaux. Un jour, dans son chargement il vit son cheval préféré : il le ramena chez lui. Il agrandit son camion et le cheval resta à côté de lui partout où il allait depuis ce jour il n'eut aucun accident.

 

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Le pêcheur

 

Un jour le pêcheur était en train de pêcher. Tout à coup, ça mord. Le poisson l'emporta et il tomba à l'eau. Un brochet le ramena sur la berge. Le chien courut chercher les affaires et les ramena au pêcheur. Celui-ci se changea, il prit le brochet dans une bassine. Après une demi-heure de route ils arrivèrent et le pêcheur mit le brochet dans un aquarium et le donna à manger.

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  l'aigle martial


l'aigle martial crie " oal oal oal "

l' aigle martial chasse le chacal

l' aigle martial monte sur un cheval

l' aigle martial avale les mygales

l' aigle martial joue avec un narval

l' aigle martial suce le sang de la mygale

l' aigle martial mange les cigales

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Mon dimanche au Gavre

Je suis allé au Gâvre faire un concours de poney. On était 5 à le faire. J'avais une ponette, qui s'appelle Bichette et on était avant-dernier.
L'après midi nous sommes revenus voir les grands : ils ont fait une puissance (sauter le plus haut possible).


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le fantôme de Bengale


Il était une fois un monsieur qui ressemblait à ZORRO. Il avait une combinaison mauve une ceinture avec un sigle étrange sur une plaque de fer et sur cette plaque il y avait un laser. Il ne parlait à personne. Il était laid et très fort et il savait tout faire.
il adorait faire des missions. Il en avait une : c'était de sauver un homme pris en otage par des gangs. Ils sillonnaient toute la région.
Mais le fantôme réussit à les retrouver. Le fantôme et les gangs sont devenus amis.

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Le contrôleur de sapins artificiels en boîte

Après une longue journée de travail, le contrôleur de sapins alla dormir chez lui. Il se coucha. Comme il était somnambule, il se leva, sortit, et, comme il rêvait de son travail, il se mit à plier son sapin de Noël.
Il se coucha et se réveilla. Il était tout mouillé à cause de l'herbe.

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L' équipe d' équitation.

Il etait une fois une équipe d'équitation constituée de Tony, Brian et Charlie. Ils vivaient dans un magnum , avec une grande remorque. Devant ils avaient un compartiment de sellerie et le plus grand compartiment avec six chevaux. Ils en avaient deux chacun. ils faisaient tous les concours de France.

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L'agriculteur et le sanglier

Il était une fois un agriculteur qui s'appelait René. Un jour, lorsque qu'il était en train de labourer, une laie passa avec cinq marcassins. Un s'arrêta et vint au pied de la cabine du tracteur. Le fermier descendit et ramassa le marcassin. Il l'emmena dans le tracteur et le posa sur ses genoux.
Une fois le champ labouré, il retourna chez lui et posa le marcassin sur une botte de foin. Il alla traire ses vaches. Mais impossible. Le marcassin n'arrêtait pas de lui sauter dessus. Il lui donna un bol de lait et dit : " je vais t'appeler Julien. Viens on va manger ". Le lendemain matin, c'était le jour des moissons. Tous les autres fermiers du coin sont venus. René avait loué la moissonneuse et les voilà rendus dans le champ de Brian un autre fermier du coin.
Depuis ce jour là ils vécurent toujours heureux.

 

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Le crocodile et son ami Marcel

Il était une fois un crocodile qui ne vivait pas dans les marais, mais dans le canal de Nantes à Brest et plus précisément à Blain.
Un jour, il voulut entreprendre de découvrir la chapelle de Blain.
Il sortit de l'eau, il prit la route et arriva à la chapelle. Il frappa à la porte et entra. Tout le monde eut peur de lui, sauf Marcel, l'enfant sanglier :
" Ah, te voilà, mon cher ami ! Depuis le temps que je te cherche ! Si tu venais voir ma maison ! "
Et les voilà partis sur le chemin de la maison. Tout à coup, ils tombèrent dans un trou : c'était l'enfer ! Dans celui-ci vivait un ogre, qui s'appelait Assoiffé parce que lui et sa troupe de dragons étaient assoiffés de sang. Les deux amis arrivèrent au bout du trou. Il y avait cinq grottes. Ils prirent la troisième, celle où il y avait Assoiffé et ses dragons. Ils rentrèrent dans la maison d'Assoiffé. Ils virent aux murs des têtes de bêtes guillotinées et des serpents en argent qui représentaient les dieux de la Mort.
Soudain Assoiffé aperçut Crocodile et Marcel. Il frappa le sol avec son bâton et toutes les têtes guillotinées se transformèrent en redoutables dragons. Nos deux amis se retrouvèrent au milieu d'une danse infernale de dragons. Leur capitaine Assoifé leur dit :
" Si vous ne partez pas d'ici dix minutes, vous serez guillotinés et vos têes deviendront mes serviteurs dragons !
- Mais nous sommes deux innocents !
- Assez comme ça ! répliqua Assoiffé. Emmenez-les dans la grotte à guillotiner ! "
Les dragons sortirent de la maison du capitaine en crachant du feu. Croco et Marcel avaient très peur ! Une fois rendus auprès de la guillotine, il y avait une statue sorcière. Nos deux amis devaient dire une prière devant la statue, mais celle-ci devint vivante, fit disparaître la guillotine et emmena Marcel et son ami Marcel à la surface.
Croco dit :
" On l'a échappé belle ! Si on allait un peu plus loin, on ne sait jamais ! "

à suivre

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