Simon
Bonjour je m'appelle
Simon et je voudrais faire motard. J'ai 9 ans, ma chanteuse préférée
c'est Alice Deedjay, mes chanteurs préféré sont Modjo,
Effel 65, Superfunk, Bon-Jovi. J'aime bien réparer la mobylette avec
mon frère.
Il était une fois un petit chien qui s'appelait Pablo. Il était
perdu dans la rue et le
numéro de son propriétaire était effacé. Je l'ai
gardé quelque temps puis j'ai passé une annonce. Le propriétaire
est venu le chercher.
Le
week-end dernier, je suis allé à Saint-Jean d'Angély en
moto et sur la route, j'ai trouvé Pierrot la Fouine et Joe l'Arsouille
suivi de Jeannot la Casse qui allaient faire la course. Ils ont trouvé
un nom pour leur équipe : " les Joe Bar".
Arrivés là-bas, ils ont préparé leurs motos pour
la course. Dans l'après-midi, la course a commencé et c'est Pierrot
la Fouine qui est en tête de la course. Lucien, dans les tribunes, regarde
la course. A la fin Lucien va voir sur la ligne de départ et c'est Pierrot
la Fouine qui a gagné la course.
A la fin, on voit le podium. On voit Pierrot la Fouine premier, Joe l'Arsouille
deuxième et Jeannot la Casse troisième.
Rentré chez lui, il met sa coupe à côté des six autres
et après il va chez Joe.
Il
était une fois un petit garçon qui adorait la mer. Un jour, il
plongea et il trouva une bande de dauphins. Il nagea avec eux.
A la fin de la journée, il leur dit : " à demain ".
Le plongeur retourna voir les dauphins, il nagea avec eux très très
loin et il trouva une bande de requins et retourna vers chez lui. Il rencontra
un bateau qui chassait les requins et ceux-ci partirent.
La moto est faite pour rouler, faire des courses, du stunt. Il y a des grands champions comme Olivier Jacques, David Vuillemin en Super-cross, Max la " menace " en stunt. Moi je m'appelle Simon, je veux faire motard professionnel. Je commencerai par la mobylette puis scooter, moto...
Au début des vacances je suis allé voir le Rallye d'automne en Charente-Maritime. L'après-midi, on a vu la spéciale et en une heure, il y a eu dix accidents et un mort. Les organisateurs ont tout arrêté. Le soir, à sept heures il y a eu toutes les courses de nuit et ça a fini à deux heures du matin.
Mardi soir, nous sommes allés voir " L'arme fatale 4 " en DVD
chez des amis.
Nous sommes revenus à ving-trois heures. J'ai bien aimé le film
parce qu'il y avait de l'action .
Il était une fois un garçon qui s'appelait Brian. Il y a longtemps
son père avait acheté un Merlo : c'est un tracteur . Un jour,
Brian m'invita chez lui. Son père avait mis des cailloux dans la remorque.
Brian ne se rappelait plus qu'il avait mis des cailloux. Il fit tout tomber
.
Il était une fois un hippopotame qui nageait dans ses eaux . Soudain, il vit un crocodile qui sortait des marécages, l'hippopotame regarda le crocodile et vit une grenouille. Il fùt très étonné que le crocodile ne mange pas la grenouille. Le grenouille dit " heureusement que je la mange pas, sinon je me ferais mal aux dents : je suis végétarien ! "
Pendant
les vacances je suis allé chez mes cousins fêter Noël. Nous
y sommes restés trois jours et on est revenu chez nous. Deux jours plus
tard, les invités sont arrivés. Pour le jour de l'an, les parents
se sont couchés à six heures.
Dimanche dernier nous sommes allés chez un copain de mon père.
Il a plus de deux cents bandes-dessinées.
Il a Blueberry, Vae Victis, Tramp, Cépi.
Il a aussi beaucoup de cassettes vidéo: Taxi 2, L'arme Fatale 3, Retour
vers futur. On a regardé la télé.
Les chasseurs
Il était
une fois deux enfants qui étaient passionnés de chasse. Vingt
ans plus tard, ce sont des professionnels. L'un des deux est champion du monde
et l'autre champion d'Europe.
Mais un jour, à la chasse, il rata un loup. Il alla voir les loups et
vit un louveteau qui était blessé. Il l'amena chez le vétérinaire
et après il est allé chercher toute la famille loup. Il les amena
au zoo et n'a plus jamais été à la chasse.
Dans
le premier épisode un des deux chasseurs arrête la chasse. Mais
il reste un chasseur, qui est toujours passionné de chasse.
Un jour, Jean-François (le passionné de chasse) alla chez son
frère Jean-Pierre (celui qui juré de plus jamais faire de chasse)
pour l'inviter à faire une partie de chasse, mais Jean-Pierre lui expliqua
ce qui lui était arriver la dernière fois. Jean-François
comprit tout de suite.
" Mais, et notre accord ? Ca fait deux mois qu'on devait en faire. Ho et
puis zut, tu sais jamais ce que tu veux. Moi j'y vais reste si tu veux. Tu n'as
qu'à préparer les casseroles. Je suis sûr de revenir avec
beaucoup de loups "
Jean-Pierre l'en empêcha et lui dit : " tu n'iras pas les chasser.
Je les ai attrappés avant toi. S'il n'y en a pas tant mieux, au moins
tu n'en tueras pas. "
Un jour, Jean-François alla quand même à la chasse et rencontra
un ours, un énorme ours. Il tira et le loupa. L'ours l'attaqua et Jean-François
réussit à s'échapper, mais il dut aller à l'hôpital.
Il ne chassa plus pendant un mois.
Après un mois à l'hôpital Jean-François rentra chez lui. Il alluma et vit plein d'amis à lui avec des cadeaux, son frère avec un gros gâteau. Tout le monde chantait " joyeux anniversaire " il avait tout oublié. Il fit très content de voir que les autres y avaient pensé. Le cadeau de Jean-Pierre fut de pouvoir refaire de la chasse. Jean-François fut ravi et invita tout le monde à un concours : celui qui reviendrait avec le plus d'animaux gagnerait.
C'est Jean-Pierre qui gagna leur concours. Il revint avec deux lapins, une biche et deux renards, et son frère avec seulement un lapin et une biche. Les autres revinrent avec rien. Ce fut alors Jean-Pierre qui eut la plus grosse part de gâteau. Comme il y avait des jaloux, tout le monde eut une petite part. Quand Jean-Pierre arriva avec le gâteau, il ne restait plus qu'une personne.
Comme
il restait qu'une personne ils partagèrent le gros gâteau en trois
parts. Ils commencèrent à manger, mais à peine avaient-ils
commencé que David rentra chez lui. Jean-Pierre et son frère se
partagèrent la part en deux.
Le lendemain matin, ils voulurent aller à la chasse, mais ils n'avaient
plus leur fusil ou plutôt le fusil de Jean-François. Celui-ci demanda
à son frère si c'était lui qui avait caché le sien.
Jean-Pierre lui répondit " non, hier tu l'as mis sous ton bureau
". Il alla voir et que trouva-t-il ? Vous le saurez dans le prochain épisode...
Dans l'épisode précédent Jean-Pierre va sous son bureau
et que trouva-t-il ?
Rien. Il fouilla dans toute la maison, et ne trouva toujours rien. Il ne restait
plus qu'un endroit ou il n'avait pas regardé : la poubelle. Il alla y
voir, mais il ne trouva que des cartouches, pleines en plus ! Jean-François
se dit " pourquoi jeter des cartouches pleines ? D'habitude, on jette les
cartouches vides ". Il appela son frère et lui demanda si c'était
lui qui avait jeté les cartouches. Jean-Pierre dit " oui. Je t'ai
demandé de les ranger et tu ne l'as pas fait, alors je les ai mises à
la poubelle. "
Jean-Pierre se disputa avec son frère. Deux jours après ils partirent
en voyage en Angola, à Luanda aider les enfants défavorisés.
Alors qu'ils allèrent chasser l'antilope (bien sur eux ont emmené
leur fusil, il les a retrouvés) ils trouvèrent un tigre du Bengale.
Le tigre les attaquèrent, Jean-François et Jean-Pierre lui tirèrent
dessus et le tigre tomba sur le dos, plein de sang. Plus loin sur leur passage,
ils vus un troupeau d'antilopes Jean-François visa puis tira. PAN ! Touché
! Jean-Pierre alla chercher l'antilope car il n'avait pas de chien quand il
arriva auprès de l'antilope des Yens l'attaquait, mais Jean-François
vit que son frère était en danger il se pressa d'aller voir son
frère pour s'assurer qu'il n'était pas blessé. Il se fit
attaquait par une lionne, mais il n'eut le tant de sortir son fusil que la lionne
lui sauta dessus, et la blessa très gravement. Pendant ce tant Jean-Pierre
était allongé parterre il saignait de partout mais il n'était
que très légèrement blessé.
Pendant
ce temps, Jean-Pierre était à l'agonie. Jean-François le
chercha mais ne le trouva pas jusqu'au moment où il le vit allongé
par terre. Il essaya de le ramener en ville.
Jean-Pierre mourut à l'hôpital de Luanda vers 2 heures et demi
du matin. Quand Jean-François le sut, il pleura, il pleura tellement
qu'il y eut une mare d'eau dans sa chambre. Une heure plus tard l'hôtesse
vint pour vider la poubelle, mais il était déjà parti à
l'enterrement de son frère. Elle vit que son fusil était encore
là. En fait, il avait pris celui de son frère pour le mettre à
coté de la tombe. Deux jours plus tard, il revint en France pour annoncer
cette triste nouvelle à ses parents à Lussant en Charente-Maritimes,
à côté de Tonnay-Charente. Quand il fut arrivé, il
ne vit pas une seule voiture, ni le camion, il ne vit que les deux chiens Gipsy
et Java qui était dans le chenil. Il se dit que tout le monde était
parti au camping à Bourcefranc-le-Chapus. Il y alla. Alors qu'il y était
bientôt arrivé lorsqu'au feu de la rue Gaston Lapata, un camion
grilla le feu rouge et lui rentra dedans. Il fut hospitalisé de toute
urgence à l'hôpital de Rochefort et mourut vers quatre heures de
l'après-midi.
Pendant mes vacances, je suis allé à Lunel chez mon papi et ma
mamie. Nous y sommes restés quatre jours.
Le premier jour, on est allé a la plage de la Grande-Motte. J'ai ramassé
des coquillages et une étoile de mer. Les appartements de là-bas
sont très bizarres.
Le deuxième jour, on est parti à Aigues-Mortes, je suis monté
sur quelques marches de la porte de St Antoine, j'ai vu des meurtrières,
la tour de Constance et en repartant ma mère a pris en photo le tas de
sel Baleine.
Le troisième jour, on est allé au Pont du Gard, je suis monté
au panorama pour voir ou passait l'eau auparavant, mais elle n'y passe plus.
Je suis allé tout en bas du pont et là, on voit que c'est très
grand et j'ai vu quelques grottes.
Le dernier jour, on est allé à Ste Marie de la mer. Pour y aller,
il faut prendre le bac. J'ai vu des Flamants roses, j'ai visité le port,
et au bord de l'eau, il y avait des grosses vagues qui claquaient contre les
rochers.