Andy Bonjour je m'appelle Andy, j'ai neuf ans, je suis née à Paimpol et maintenant, je suis à Blain. Je suis blonde, j'ai les yeux marron. Mon goût préféré est la pistache et la vanille. Mon animal préféré est le dauphin. J'ai deux chiens qui s'appellent Rinbo et Junior. Mon sport préféré est la natation. Ma copine est Sarah. Mes couleurs préférées sont le rouge et le bleu. Ma chanson préférée, c'est " dans les prisons de Nantes " et ma chanteuse préférée est Alizé .Jai un chat qui s'appelle Cayenne, mais elle est morte : elle s'est fait écrasée. Je n'aime pas les mathématiques, et j'aime bien raconter l'histoire de Boucle d'or à mon frère qui a deux ans : Raphaël. Ma sœur s'appelle Charlène. C'est ma sœur jumelle : elle a neuf ans comme moi, elle est dans la même classe que moi : cm1. J'ai un frère qui a huit ans : il s'appelle Stivel. Mon papa est très gentil comme ma maman. Elle conduit des poids- lourds. .   Plus tard, je voudrai faire un métier bizarre : méchante maîtresse !   Les vacances J'ai été en vacances à la montagne: il fait très chaud. La mer Méditerranée est chaude et on a très faim. On a été à Andorre la vieille et papa nous a acheté un beau chapeau. J'ai aussi été au télésiège: c'est très bien. Tous les soirs, on allait mangeait à la pizzeria ou à l'appartement. Pour y aller, on est passé dans un tunnel. Nous sommes allés dans un parc: il y a des loups, des sangliers, des ours, des cerfs. Dans la mer Méditerranée il a des dauphins. Prés du télésiège, on a pique- niqué. On a été dans un magasin où il - avait plein de jouets qui bougeaient. Papa a acheté un gros tracteur à Raphaël. Stivel a eu trois petits bonshommes. On a été pique - niqué au bord d'un lac et pour y aller il fallait prendre le télésiège. Il y avait des vaches qui allaient boire de l'eau au lac et des chevaux qui venaient manger nos chips à la crevette et qui allaient boire l'eau du lac. Retour aux textes libres Le métier de Papa et Maman. Maman prépare le concours d'entrée à l'école d'ambulanciers. Papa est responsable régional, dans les télécoms à Ancenis. Les horaires de Papa sont du lundi au vendredi de 8h00 à 19h00. Il se déplace certains week-ends à Aurillac (Cantal), au siége social, et Papa va aller à l'hôpital jeudi 27 septembre 2001. Après, il pourra reprendre le travail, ça sera mieux pour lui. Retour aux textes libres Ce week-end Le week-end, je suis allée voir Papa à l'hôpital. Il va sortir mardi 2 octobre. Normalement, il devait sortir lundi 1er octobre, mais le médecin n'est pas venu. Il avait mal au dos. Maman est allée tous les jours le voir quand il y avait école et quand on n'avait pas école, on allait voir Papa. Papa va se reposer maintenant qu'il est rentré. Retour aux textes libres Le petit roi Un jour dans un château il y avait un petit roi. On l'appelait Petit Roi parce que ce n'était pas un vrai roi car il racontait des histoires. Il alla à table et il dit: " Je vais vous raconter trois histoires. La première : J'étais sur mon cheval et là j'ai vu un homme qui courait plus vite que le cheval et je lui dit "arrête-toi" et il s'arrêta. Je lui dis - Pourquoi cours-tu plus vite que le cheval ? Le petit homme répondit : - C'est ma façon de marcher. - Comment te nommes tu ? - Cavalo, dit le petit homme. Je lui demandai : - Tu veux bien être mon serviteur ? - Oui, je veux bien, à une condition : que vous me donniez à manger et à boire ainsi qu'une chambre. - Oui, lui dis-je. - Je suis là pour vous servir. Je continuai mon chemin et j'entendis des bruits. Je dis à Cavalo : - Va voir ce que c'est. Il alla voir. Il revint. - Alors? - Je n'ai rien vu. - Viens avec moi, on va aller voir. Nous aperçûmes un homme qui arrachait les arbres de la forêt. Ca faisait beaucoup de bruit. - Bonjour dis - je. Tu es plus fort qu'Hercule ! - Je suis Hercule! - Veux-tu être mon serviteur? - Oui, à une condition: que vous me donniez à manger à boire et une chambre. - Oui, dis-je. J'allai me promener avec Cavalo et Hercule et là le vent soufflait plus fort que tout et c'était un homme. Je lui dis: " Arrête de souffler. Dis-moi comment te nommes tu ? - Suflon - Pourquoi? - Parce que je souffle. - Veux-tu être mon serviteur - Oui! " On continua le chemin et je vis un homme qui écoutait par terre. Je lui dis: " Pourquoi tu écoutes? - J'écoute la mousse pousser et aussi la mer. - La mer mais il n'y a pas de mer! Comment te nommes tu ? - Ecoute. -Ecoute, veux tu être mon serviteur? -Oui a une condition: que vous me donniez à manger et une chambre. - Oui. " Nous continuâmes notre chemin. Je dis à mes serviteurs : "On tourne en rond depuis deux heures! - Oui, répondirent-ils. - Cavalo, va voir si on peux sortir. " Il revint et non, on ne pouvait pas sortir. Hercule tint mes serviteurs, et Suflon souffla de toutes ses forces. Tous les cailloux tombèrent, il fallait partir. La mer et on continua le chemin. J'entendis un coup de feu: c'était un homme qui tirait. Je lui dis: " pourquoi tires-tu sur le soleil ? -Mais non, je tire sur les oiseaux. - Je ne vois pas d'oiseaux! - Attention un oiseau tombe sur ta tête! -Oui! Comment te nommes tu? -Tir, parce que je tire très vite. - Veux tu être mon serviteur? - Oui, à une condition, que vous me donniez à boire et à manger et une chambre. - On rentre, dis-je. Vous retrouverez le petit roi dans le prochain épisode. Retour aux textes libres
	Les trois petits lutins Un jour dans la forêt du Gâvre, trois petits lutins habitaient dans un petit arbre. Le premier s'appelait Pique. Il avait un chapeau vert. Le deuxième aussi s'appelait Pique car ils étaient jumeaux mais il avait un chapeau rouge. Et le troisième lui s'appelait Colégram : il avait un chapeau bleu. Le premier Pique avait un métier : c'était de s'occuper du jour et de la nuit. Le deuxième s'occupait des animaux. Et Colégram n'avait pas de métier. Pique se moqua de Colégram. " Mais moi, je suis petit ! Je vais aller dans la forêt trouver une idée ! - Ah ! Parce que c'est dans la forêt que tu trouveras une idée ? - Oui, répondit Colégram ! " Il alla dans la forêt et trouva un jeune fermieux. Colégram dit : " Bonjour ! Il fait fred ! - Oui, dit le jeune fermieux. - Il y a beaucoup de boué, dit le petit lutin. Pourquoi fais-tu cette tête ? - Je n'ai plus à manger. Mes cochons, mes vaches et mes poules sont parties. - Pourtant, mon frère devrait s'occuper de ça ! - Bon, je vais aller chercher à manger. Merci. " Colégram donna à manger au fermieux. " Merci ! - Au revoir ! " Colégram dit à Pique : " Tu dois aller chercher les cochons, les vaches et les poules du jeune fermieux. - Déjà ? - Oui. Je me suis entraîné. - Eh ! dit le premier Pique, as-tu trouvé un métier ? - Oui ! Je vais m'occuper des gens ! " Le deuxième Pique dit : " Devine qui est là ? - Je ne sais pas, répondit Colégram. - Ce sont nos amis Bour, et Bour, et Ratatam, Amstramgram ! Ratatam a rapporté la grôle, c'est un corbeau noir. Après manger, nous ferons une ronde autour du feu et nous chanterons : Pique et Pique et Colégram Bour, et Bour, et Ratatam Amstramgram Ratatam a un cadeau pour toi. - Tiens, dit Ratatam. - Eh ! dit Ratatam, un petit chien ! Je vais l'appeler… Je ne sais pas… " Pique dit : " Tu peux l'appeler Pat. - Non, dit Colégram. Tout le monde va l'appeler Patate. Je sais : je vais l'appeler Maouri. - Oui, répondit Ratatam. - C'est quoi, comme race, demanda le deuxième Pique ? - Un Terre-Neuve. " Le premier Pique dit : " Je ne veux pas qu'il vienne dans ma chambre. " Le deuxième lui dit : " Moi, je veux bien qu'il aille partout sur mon territoire. " Colégram dit : " Tu veux bien m'aider à m'en occuper ? - Oui, accepta Pique. " Amstramgram dit : " Venez, on va chanter autour du feu ! Pique et Pique et Colégram Bour, et Bour, et Ratatam Amstramgram la grôle = la corneille fred = froid du boué = du bois fermieux = fermier Retour aux textes libres Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do Un jour, dans la forêt du Gâvre, il y avait huit petits lutins. Un de ceux-ci, appelé Do, avait le pouvoir de faire qu'il fasse chaud. Ré avertit : " Regardez dans le ciel, il va tomber de la neige ! - On va faire un bonhomme de neige, proposa Mi. " Ils firent un bonhomme dehors et Fa déclara : " Demain, c'est notre anniversaire. " Sol murmura : " On est nés le même jour ! " La dit : " On est grands, mais on n'a pas de métiers ! - On est petit alors que les autres sont grands, et ils ne nous entendent pas ! cria Si. " Do dit : " Mais tu n'as rien compris ! Si on faisait un magasin de jouets pour les petits lutins ? - C'est une bonne idée, approuva La. " Fa avertit : " Il va faire bientôt nuit ! - C'est marqué dans un livre qu'aujourd'hui on verra une étoile filante, dit Ré. " Sol dit : " On pourrait attendre l'étoile filante ! " L'étoile filante passa. Do fit un vœu : que son frère jumeau n'ait plus peur de la nuit. Ré aussi fit un vœu : qu'un magasin de jouets apparaisse demain pour que tous ses frères et sœurs aient un cadeau. Mi fit le vœu d'avoir beaucoup d'argent, Fa celui de passer en CE1. Si fit le vœu que quand ils auraient le magasin, ils gagneraient beaucoup d'argent. Do, lui, ne voulait plus faire de cauchemars. Ré chuchota : " On devrait aller faire dodo. - Oui, dirent Do, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do. " Do annonça : " Je n'ai pas peur de la nuit. " et il s'endormit. Le vœu de Ré se réalisa : le magasin de jouets apparut. Mi entendit dans son rêve une petite voix qui lui dit : " vous gagnerez beaucoup d'argent. " Fa aussi entendit une voix : " Tu passeras dans la classe de CE1. " Si aussi entendit une petite voix qui lui dit : " vous gagnerez beaucoup d'argent. " Do, lui, fit de beaux rêves. Tout le monde se réveilla et ils s'exclamèrent : " un magasin ! " Ré dit " surprise ! " et il rajouta : " C'est Do qui a fait ça pour notre anniversaire ! " Des enfants arrivaient et achetèrent plein de jeux, même que Pique et Pique et Colégram, Bour, et Bour, et Ratatam, Amstramgram achetèrent deux livres : " Gargouilles Grenouilles " et " Astérix et la Potion ". Amstramgram acheta pour tous ses amis deux cassettes : " Mission Cléopâtre " et " le Seigneur des Anneaux ". Quand tout le monde fut parti, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do rentrèrent manger : ils se sentaient mieux avec les vœux qu'ils avaient faits. Ils allèrent au lit. Do fit encore de beaux rêves et dormit bien, ainsi que les autres. Retour aux textes libres Le vieux frère. Un jour, mon vieux frère en avait marre de cette ville parce que tous les gens disaient qu'il volait des choses, alors il décida de partir. Il prit le bateau qu'il avait construit en 1992. Il ne savait pas où il allait. Deux jours plus tard, il écrivit plein de poèmes et une lettre pour sa famille qui était restée pendant ce temps à la ville. La famille de mon frère alla chercher la lettre et la lut: " Bonjour tout le monde. J'ai fait un long voyage. Il s'est passé quelque chose : une baleine m'a avalé, mais j'ai rencontré un monsieur qui s'appelait Soufflon. Alors, il a soufflé très fort. Ca a fait que la baleine a ouvert la bouche et on a pu sortir. Je vous écrirai encore. A bientôt! " La famille était contente qu'il se soit sorti de là avec son ami Soufflon. Celui-ci lui demanda où il habitait. " J'habite en Russie, près de la ville de Pern. " Il voyagea dans le monde entier. Il parcourut le Japon, la Chine, l'Australie, les Indes et il arriva en Afrique chez ses cousins. Il leur raconta toute l'histoire. Il leur demanda où était la ville pour qu'il puisse acheter de nouveaux vêtements et toutes les autres choses dont il aurait besoin. Il demanda beaucoup d'argent car il n'en avait pas. Il entra dans la ville acheter de nouveaux vêtements. Il acheta aussi des cartes postales pour pouvoir envoyer des lettres à sa famille et ses amis. Il rentra chez ses cousins et alla dans la chambre d'amis. Il écrivit à ses parents, à son frère et à ses amis. Un an plus tard, il alla dans la ville acheter des cadeaux pour ses parents et son frère. Il passa devant le bateau qu'il avait construit en 1992. Il partit sans dire au revoir à ses cousins, mais il avait laissé quand même un petit mot : " Mes chers cousins, je suis reparti voir ma famille pour Noël. Je reviendrai après. Je vous ai quand même acheté un cadeau : il se trouve dans le lit de ma chambre. Il ne faut l'ouvrir que le jour de Noël. Au revoir et à bientôt. " Il parcourut de nouveau l'Australie, la Chine et le Japon. Ses parents et son frère étaient très contents de le revoir (ils ne savaient pas qu'il allait revenir) Deux jours après Noël, il alla en ville pour voir si les gens le reconnaissaient. Il rencontra son meilleur ami, Gaston. Il vit que celui-ci était devenu tout noir. Il lui demanda pourquoi. Son ami répondit qu'il était resté trop longtemps au soleil. Sa mère appela Gaston pour manger. Comme il était très gentil, il invita son ami à manger. Plus tard, mon vieux frère partit en Afrique avec Gaston et sa mère. Le lendemain, ils firent une fête, avec Gaston, les cousins et François, mon vieux frère. La mère de Gaston faisait le dîner. François se sentait mieux avec ses amis. Tous les Noëls, il rentrait en Russie avec Gaston et sa mère et ils faisaient une grande fête.   Retour aux textes libres Boudi, Boudo, Bouda Un jour, dans la forêt de la Groulaie, il y avait une petite maison où habitaient trois lutins. La maman s'appelait Boudi, le Papa Boudo, et le garçon, Bouda. Celui-ci aimait les chevaux, mais il voulait faire un concours. Ses parents ne voulaient pas. Un jour, il alla au concours. Heureusement qu'il existait des petits chevaux à la taille des lutins. On lui dit: "votre cheval s'appelle Tornade." Il s'entraîna des jours et des jours. Ses parents voulaient savoir ce qu'il faisait car on ne le voyait que le soir. Ils lui demandèrent mais Bouda ne répondit pas car il voulait faire une surprise. Tous les jours, ses parents était très inquiets. Son cheval était blanc avec une crinière blanche, les yeux noirs. Un jour, il alla très tôt le matin s'entraîner. Il n'arrivait plus à contrôler Tornade. Il s'était blessé et Bouda était tombé du dos de Tornade. Il était un peu égratigné sur son bras. Il se désinfecta et mit un pansement. Ses parents n'avaient pas vu. Le lendemain, sa mère se coupa et alla chercher un pansement, mais comme Bouda savait que sa maman les comptait, il dit : " Je vais aller le chercher." Il le lui donna et alla faire sa promenade avec Tornade. Il avait fini de se promener et c'était le dernier jour où il devait entraîner Tornade. Le lendemain, il dit à ses parents de regarder la télé et il leur dit de mettre la chaîne Cinq. Il alla vite se préparer pour faire la course avec Tornade. Le responsable se prépara à dire "feu". Au début de la course, le premier était Dormeur. Une heure plus tard, l'animateur dit : "qui a gagné?" et c'était Tornade. Les parents de Bouda furent très contents. Quatre ans plus tard, Bouda travaillait avec les chevaux. Retour aux textes libres