L 'école Autrefois
Nous faisons un exposé sur l'école autrefois parce que c'était un autre temps. Ce n 'était pas comme nous. Avant il y avait des tables en bois, et même des chaises, des crayons, des ciseaux. Les enfants et le maître portaient des blouses. Il y avait même des tableaux en bois.
Nous faisons un exposé sur l'école autrefois, car ce n'était pas comme nous. Autrefois, il y avait des tables en bois, des chaises, des crayons, des ciseaux, et aussi les enfants les maîtres portaient des blouses. Pour travailler, il y avait des tableaux en bois.
Chapitre 1 : Les pupitres et les ardoises.
La classe avait un tableau noir, avec des craies de toutes les couleurs. Les
élèves avaient des pupitres en bois, noirs, alignés en
rangées face au tableau. On soulevait le couvercle pour ranger ses livres
et ses cahiers. Les crayons, les portes - plumes et les gommes étaient
rangés dans des plumiers en bois. C'était une boîte allongée,
avec plusieurs compartiments. On écrivait souvent sur des ardoises de
bois. Il fallait beaucoup économiser le papier et ne rien gaspiller.
On utilisait les crayons jusqu'au dernier centimètre. Les livres de classe,
imprimés en noir et blanc avaient de toutes petites gravures.
Chapitre 2 : Combien y avait-il d'élèves? Avaient -ils des professeurs de math ou français ?
Les écoles n'étaient pas mixtes, c'est-à-dire que les garçons et les filles n'étaient pas dans la même classe. Il y avait un maître à l'école des garçons, alors que les filles, avaient une maîtresse. Il existait aussi des classes de garçons ayant une maîtresse mais c'était rare.
Chapitre 3 : Comment étaient -ils habillés?
Les enfants venaient à l'école avec des sabots en bois remplis de paille pour tenir chaud, ou bien avec des souliers montants, en cuir avec des lacets. Les galoches étaient des semelles en bois. Les sabots étaient entièrement en bois. Sabots et galoches avaient souvent la semelle clouée pour durer plus longtemps. C'était très bruyant quand on marchait. On avait des blouses noires. C'était obligatoire.
Les cours de récréation n'étaient pas très grandes, mais il y avait assez de place pour jouer. L'école avait un petit préau.
Le jeu de grâce:on se lançait un anneau qu'il fallait rattraper avec un bâton.
On jouait aussi à la marelle, aux quatre coins.
Les garçons jouaient au jeu de paume.
Ils avaient des cerceaux des billes en bois qu'ils fabriquaient eux-mêmes. En hiver, ils faisaient des batailles de boules de neige, mais en cachette car ils se seraient fait punir sévèrement. Dans la cour, il avait une cloche. Un élève était chargé de sonner aux heures de récréation.
Quand la plume monte, le trait est fin : « c'est un délié» quand la plume descend, et le trait est épais : c'est un plein. On écrivait « penché », avec des plumes métalliques et de l'encre noire ou violette en faisant les« pleins» et « des déliés ». Il fallait s'appliquer pour ne pas faire de tâches. Un encrier en porcelaine blanche était fixé dans un trou au coin du pupitre. On ne faisait pas de textes libres : la maîtresse donnait des sujets de rédaction qu'on appelait également « composition française ». On lisait beaucoup de phrases de morale, on avait de longues dictées, des copies.
Les cartables étaient en cuir. Maintenant, ils sont en matière plastique, mais elle n'existait pas encore. Les cartables actuels ne sont pas aussi solides que ceux qui sont en cuir. Les élèves qui n'avaient pas assez d'argent pour acheter un cartable en cuir avaient une musette, c'est-à-dire petit sac en toile épaisse. Mais ils partaient parfois simplement leurs livres sous le bras. Les cartables avaient souvent des bretelles: sous le dos pour se tenir bien droit.
Pour dessiner, on avait des crayons de couleurs, mais pas de peinture ni de crayons feutres. On observait des fruits, des feuilles d'arbres, des objets. .. qu'on dessinait ensuite. On ne faisait jamais de dessin libre. Les filles apprenaient la couture et la broderie, le point de croix et de chaînette, par exemple. Les garçons faisaient quelques travaux manuels. Le soir, il y avait beaucoup de travail, des problèmes, des multiplications, des dictées, les noms de tous les départements à apprendre par coeur.
Chapitre 8 : Le premier ou la premiére de la classe.
C'est-à-dire est à dire le meilleur élève, était récompensé à la distribution des prix au mois de juillet. On lui offrait un beau livre et on lui mettait une couronne de laurier. La rentrée des classes avait lieu le 1er octobre et on partait en vacances le 14 juillet.
Pour se chauffer, il y avait un petit poêle à bois au milieu de la classe. Chaque élève apportait une bûche. C'était la maîtresse ou une grande élève qui allumait le poêle. Le matin, quand il faisait très froid, on gardait son manteau. Les enfants venaient à l'école à pied, et ils habitaient quelquefois très loin. A midi, les élèves qui venaient de loin faisaient réchauffer leur « gamelle » sur le poêle et mangeaient leur repas en classe. Dans les nombreuses écoles, les cabines étaient dehors au fond de la cour. Pour nettoyer les w-c il n'y avait pas de chasse d'eau mais un boc plein d'eau et une petite balayette. Les W-C étaient de simples petites cabanes très froides.
Lorsqu'on avait mal travaillé ou été bavards, on avait des verbes ou des textes à copier, ou bien on allait au «piquet » dans un coin de la classe, et on tournait le dos à ses camarades. Il arrivait aussi qu'une élève reste «en retenue » après la sortie pour copier cinquante fois « Je ne dois pas copier sur ma camarade » ou « je dois tenir mon cahier propre », ou conjuguer le verbe « être sale » à tous les temps. Et si la punition était mal écrite, il fallait tout recommencer. Quelquefois de très mauvais élèves avaient le bonnet d'âne ou bien une pancarte « paresseux » dans le dos.
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