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VINCENT

de la classe de CM1 de

Je m' appelle:Vincent.

J' ai 9 ans.

Mon père s'appelle Didier, il a quarante ans, ma mère s'appelle Françoise , elle a quarante ans aussi.

Mon frère s'appelle Mikaël, il a quatorze ans.

J' ai aussi un chien qui s' appelle Bill, il n'a que trois pattes !

J' aime bien la natation et le multisports, ma mère va essayer de m' inscrire à ces deux sports.

J' aime beaucoup les plats que je mange, mais certains je n'aime pas

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Pour m'écrire,cliquez sur la boîte aux lettres

 

On vient à l'école pour étudier : les mathématiques , le français , la nature , le monde ... bref , à l' école on apprend plein de choses ! L 'école c'est important aussi parce que c' est là qu' on a des copains .

S ' il n' y avait

pas d' école , je n ' aurais aucun copain . Et s' il n y avait pas d' école , nous serions comme des hommes préhistoriques , nous ne saurions pas nous parler entre nous ! L'école de mes rèves , elle serait avec un grand jacousi !

les vacances

 

Cet été, je suis allé en vacances à Fréjus. C est à coté de Saint-Tropez. Là-bas, il y a une piscine et des jeux . Il y a aussi des clubs : le Club des Pitchouns , ( les 2 - 5 ans ) ; le Club des Kid 's , ( les 6 - 10 ans ) ; le Club des Yamacassi , ( les 11 - 14 ans ) ; le Club des Bronzés( les 15 - 18 ans ) et le Club des Adultes ( à partir de 18 ans ) .
Le soir, on avait des activités comme : soirée dansante, soirée spectacle, soirée cinéma, etc. ... Après, je suis allé chez ma mamie à Roscoff, c est dans le Finistère. Ma mamie travaillait au port, elle faisait du ménage mais, maintenant, elle est à la retraite.
Mon papi et mon arrière-papi étaient johnnies , c'étaient des gens qui vendaient des oignons en Angleterre , mais maintenant , ils sont morts tous les deux .

 

MON CHIEN

Mon chien s appelle Bill, il a 4 ans. C est un chien noir sur tout le corps et blanc sur le ventre. C est un chien de la race Border-collie. Il n a que trois pattes car il s est fait bousculer par une voiture, (enfin, on croit que c est ça). Mais, quand même, il est très fort, car en le promenant, il voit des chiens et il tire très fort et parfois, je lâche les mains et il s'échappe ! Il se dispute peut - être parfois avec les chiens, mais avec les humains il est très gentil, il est triste quand on part, il est content quand on revient : la preuve, il nous saute dessus pour nous lécher et pour jouer. Il adore jouer avec les ballons, on lui en a donné un, maintenant, il joue tout le temps avec, mais il n est pas en bon état. Il est très jaloux aussi, dès qu on se fait un bisou, il aboie ! J adore mon chien car il est affectueux et me console quand je suis triste.

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LESCARGOT MAL AIME

Il était une fois, dans le pays des animaux, Mr Escargot, qui était tout baveux et tout gluant. Il était mal aimé à cause de son physique. Tout le monde le détestait et personne ne voulait jouer au moins 30 secondes avec lui. On ne voulait même pas lui adresser la parole. Cela le rendait triste, très triste, il pleurait toute la journée.

Un jour, son voisin déménagea, et vint à la place Mr Papillon. Ses ailes étaient magnifiques ! Il était très bon envers les gens et était prêt à sacrifier sa vie pour aider les autres. Mr Papillon, voyant Mr Escargot, ne fut pas horrifié par son apparence, mais horrifié par son désespoir ! Mr Papillon lui dit bonjour en lui demandant la cause de cette tristesse. Mr Escargot lui raconta tout depuis le début. "C'est une honte !" cria Mr Papillon d'un air catastrophé. "Ce n'est pas l'apparence qu'on juge, mais le coeur."

A ces mots, M. Escargot ne put s'empêcher de verser une larme. Pour la première fois de sa vie, quelqu'un l'aimait. "Ne vous inquiétez pas, monsieur l'Escargot, je vais vous aider."

M. Papillon tint sa promesse. Tout de suite après, il alla dans le village et dit : "écoutez, c'est horrible ce que vous croyez sur M. Escargot! Ce n'est pas par le physique que l'on juge, mais par l'amour et l'amitié qu'il y a au plus profond de son coeur. En agissant comme cela, c'est vous les monstres."

Peu à peu, tous les gens du village se dirent que c'était affeux ce qu'ils pensaient sur M. Escargot, et ils s'excusèrent tous sauf un, M. Ours qui était très grincheux. "Mais enfin, M. Ours, tout le monde a des défauts. La prenve, vous avez un énorme rugissement! M. Taupe est aveugle à la lumière du jour! M. Lapin a de grandes oreilles..."

A force, M. Ours accepta en lui pardonnant. Ainsi, tous les habitants du village furent heureux. M. Papillon devint un très bon ami de M. Escargot, M. Escargot eut beaucoup damis et devint amoureux de Mme Limace. Ils eurent sept enfants : Oscar, Gotinne, Cagot, Essa, Gotarin, Essaline et Cagotin. M. Escargot ne pleura plus de sa vie, sauf des larmes de Bonheur.

Un cochon d'Inde d'enfer!

Il était une fois un enfant très méchant qui habitait à Superville. Il s'appelait Max. Aujourd'hui, c'était son anniversaire. M. et Mme Bienvenus (les parents de Max) lui offrirent un cochon d'Inde. "Ah! Qu'est-ce que c'est que cette souris dégoûtante!" cria Max. Ses parents furent déçus. Mme Bienvenue dit : "Ecoute, Max, il faudra que tu sois plus gentil, plus tolérant, plus sérieux!..." Max n'en écouta pas un mot et partit en bafouillant: "Mmouais! pff! Tu parles!"

Le lendemain matin, en se levant, Max vit son cochon d'Inde devant son lit. Il était dans une grande cage blanche. C'était dimanche aujourd'hui, donc Max pouvait prendre tout son temps pour se lever, et c'est exactement ce qu'il fit. Après s'être étiré de tous les côtés, jusqu'aux os, Max écouta de la musique et vit, à sa grande surprise, son cochon d'Inde danser. Max se frotta les yeux plusieurs fois, mais vit toujours le cochon d'Inde danser dans tous les sens. Max fut obligé de céder. Puis il dit :
"Mais, c'est impossible!
- Si, c'est possible, dit une petite voix gaie.
- Mais, qui me parle? dit Max inquiet.
- C'est moi! dit encore la petite voix."

Max comprit que la voix venait ... du cochon d'Inde! Il se pinça et retomba sur son lit. La petite voix dit :
"Au juste, j'aimerais bien avoir un nom. Tu peux m'en donner un, puisque je t'appartiens à présent. As-tu une idée?
- Oh! Ca , oui! dit Max en se levant brusquement. "Rigolo", ça t'irait à merveille! continua Max. Au juste, comment ça se fait que tu puisses parler?
- Et bien au fait, dit Rigolo, le lion, qui est notre "roi des animaux", a donné il y a deux ans le don de parler à un animal de chaque sorte, et j'ai été choisi."

Max comprit tout. Il sentait que Rigolo avait assez bon coeur.

Le lendemain, Max alla à l'école, le coeur rempli de joie. Il tomba amoureux d'une splendide fille de sa classe, Marilina. Max avait le coeur gros comme un ballon, et, à chaque nouvelle classe, tous deux étaient ensemble, jusqu'au jour où Max avoua son amour à sa belle et douce Marilina, elle en fit autant et tous deux se dirent de se marier ensemble plus tard. Max savait que c'était grâce à Rigolo.

 

 

La bibliothèque hantée

Il était une fois, à Peurville, un enfant, Félix, (affreusement peureux), qui alla à l'école, "L'école des bons enfants". Là-bas, tout le monde se moquait de lui pour sa peur. Il passa à côté de quelques garçons de sa classe et entendit:
"Il paraît que la bibliothèque est hantée!
- Encore des bobards! dit un autre.
- Ouais! reprit le premier. »
Pendant qu'il parlait, un des enfants distingua Félix et dit: "J'espère ça va mal Mauviette!" (c'est comme ça qu'ils le surnommaient). Félix ne dit rien et partit, tout abattu, tandis qu'une fille de la classe avait assisté à toute la scène. Félix eut de grands frissons dans le dos par ce qu'il venait d'entendre.
Le soir, la mère de Félix, vu qu'elle était malade, lui demanda d'aller chercher un livre. Félix obéit à sa mère, avec crainte. Quand il fut arrivé à "La Bibliothèque Noire", il sentit un frisson le parcourir tout le long du dos. Il entra, mais les quelques personnes et la lumière le rassurèrent. Puis, Félix partit à la recherche du livre. Quand il le trouva, il retourna à l'accueil, ne voyant personne dans la bibliothèque même. Pour essayer de se rassurer, il alla à la porte, tenta d 'ouvrir, mais elle était fermée à clé ! Soudain, la lumière s 'éteignit. A ce moment-là, Félix eut extrêmement peur !
Que va-t-il faire, seul dans le noir, coincé dans la bibliothèque ?...

Félix, donc, dans le noir extrême, essaya d 'allumer la lumière, mais sans succès ! Il osait à peine bouger. Tout à coup, le malheureux Félix entendit une voix extrêmement douce. « Aaaah ! ». Félix, halluciné par cette voix, dit « Extra : » (c'était son mot fétiche). Mais, reprenant ses esprits, il crut reconnaître la voix. Dans cette bibliothèque obscure, il décida d 'aller au secours de cette voix sublime. Il se cogna sept fois contre une étagère, trois fois contre une table, onze fois contre le mur, mais il n'abandonna pas et continua sa route. Au bout de six minutes vingt-six secondes, il parvint enfin à l 'origine de cette mystérieuse voix.
Quand il eut distingué un peu le corps de la jeune fille, il regarda aux alentours et se rendit compte que la fille qui était à côté de lui était celle qui avait assisté à la scène du matin.
Félix demanda :
« Que fais-tu là ? Qu 'est-ce que tu as ? Tu n 'as rien, j 'espère ?
- Pour répondre à ta première question, je suis là pour la même raison que toi, pour la deuxième, j'ai vu une sorte de démon (mais ça doit être mon imagination), pour la troisième, je n 'ai rien. »
Elle fut interrompue à ce moment-là.
« Qu 'est-ce que tu dis, Amélie (c 'était son prénom) ? Un démon ! Tu crois ?! Mais c'est affreux ! Tu penses vraiment que nous avons affaire à un terrible démon terrifiant lançant du feu partout ?! »...

Voyant l'air terrifié de Félix, Amélie commença elle même à s'inquiéter et lui répondit: "Hélas, j'ai bien peur que cet être soit véritablement un démon!" Félix et Amélie se fixèrent, oeil dans l'oeil. Soudain, Félix, en regardant le plus profond des magnifiques yeux bleu-vert d'Amélie, sentit une sensation à la fois émouvante, drôle, et heureuse. A ce moment-là, Félix ne put s'empêcher d'esquisser un sourire, puis il se roula par terre en rigolant. Amélie se mit alors dans l'ambiance et s'écroula par terre à son tour. Après une bonne dizaine de minutes, il s'arrétèrent en voyant trois fantômes, trois fantômes, mais pas n'importe lesquels car c'était des anciens élèves de la classe d'Amélie et de Félix. Ou plutôt, des anciennes élèves qui était mortes dans cette bibliothèque-ci, Julie, Eloïse et Marion étaient les copines d'Amélie, surtout Marion, sa meilleure copine. Julie et Eloïse, elles, étaient devenues des pestes, tandis que Marion était toujours aussi tendre, douce et joyeuse. Amélie, prenant ça pour un rêve, voulut se jeter sur Marion, ne pensant maintenant plus guère à Julie et Eloïse, les deux sales fillettes devenus fantômes. Elle se jeta donc ssur le plancher. Elle se réveilla alors et entendit Marion: " Je n'ai malheureusement pas beaucoup de temps! Je m'adresse donc juste à Félix en racontantce proverbe qu'on m'a confié:

"Le courage tu aura,

La vérité tu trouveras."

A ces mots, elle disparut, ainsi que les deux autres.

Amélie demanda: "Que veut elle dire ?"

Félix ne répondit pas, pris dans ses pensées par ce mystèrieux proverbes...

Après ce silence pensif, le démon indénichable revint. Félix et Amélie se relevèrent en même temps, et reculèrent, effrayés. Félix recula alors, et entra, sans s'en rendre compte, dans les toilettes des filles. La créature maléfique sauta sur Félix, pendant que le préadolescent essayait de se protéger en ouvrant en le robinet et en mettant un doigt dans le trou, ce qui éclaboussa le démon. Sur ce, il découvrit que celui-ci fuyait l 'eau. Il partit donc prendre un seau et le remplit, le temps que l 'autre se relève, pendant qu 'Amélie avait affaire à un squelette vivant. Celle-ci jeta, au jugé, le livre qu 'il y avait sur la table, et celui-ci arriva juste au point faible du squelette, l 'auriculaire de la main gauche. Le démon et le squelette partirent alors ensemble en poussière.
« Ouf ! soupira Félix.
- Hé, mais c 'est Magelune, dit la jeune fille en examinant son livre d 'enfance. »
Pour se rappeler son livre d 'enfance. Pour se rappeler de l 'histoire, elle voulut l 'ouvrir, mais à peine l 'eut-elle fait que Magelune en personne sortit.
« Ahh ! encore des personnes qui cherchent à abattre ma forêt ! »
Après ces mots, il lança deux trous noirs pour chaque enfant. Tous deux, pour se tenir, se serrèrent fortement les mains.
« Magelune, cria Amélie. Mon père me disait toujours pour des cas comme ça :
Malheur tu auras,
Moral il faudra,
Pour retrouver ton bonheur
Ta joie et ta bonne humeur »
Magelune comprit alors ce qu 'il faisait et sauta pour récupérer les deux enfants. Mais, ce faisant, il fit un autre trou noir et fut aspiré dedans. Le trou se referma alors. Les deux enfants se demandèrent pourquoi ils ne se faisaient pas aspirer, mais ils savaient que le grand moment était venu. Le trou noir gagna en puissance et Félix dit avant de disparaître :
« Amélie, je voulais te dire que je »...

« Je ...je voulais te dire que que ». il baissa sa tête, laissa tomber une larme, et, énervé, cria :
« JE VOULAIS TE DIRE QUE JE T 'AIME ! »
Amélie fit un sourire puis elle dit :
« Moi aussi, Félix ! Moi aussi ! Tu as fait preuve de tellement de courage que je ne te reconnais plus ! »
A ces mots, tous deux ne purent s 'empêcher de s 'embrasser. Dès cette seconde, une magie jaune et blanche explosa dans toute la bibliothèque. Ils entendirent la voix de Marion dire :
« Bravo, Félix ! Tu as réussi ! La substance qui vous retenait était le pouvoir de votre amour. »
Quand l 'explosion fut finie, Marion, Julie et Eloïse redevinrent vivantes, ayant tout oublié de ce qui s 'était passé. Les deux petites pestes redevinrent gentilles. Evidemment, l 'explosion avait détruit les trous noirs et tout arrangé dans la bibliothèque, mais il y avait autre chose & Un livre flottait dans l 'air, comme un oiseau. Les deux amoureux le prirent en même temps, et virent le livre « la bibliothèque hantée, écrit par Magelune Magedeforêt, illustré par Marion Beaulac ». Ils remarquèrent aussi que « la bibliothèque noire » était devenue « la joyeuse bibliothèque », et que « Peurville » était devenue « Bonheurville ». Le couple vit alors la porte s 'ouvrir ainsi que les volets. Les enfants, qui étaient fatigués et qui avaient cru passer des heures et des heures dans cette bibliothèque furent étonnés de voir sur l 'horloge qu 'il n 'était que huit heures du matin. Etait-ce du à leur impatience de rentrer chez eux ou à un autre pouvoir de cette étrange bibliothèque ? »
En tout cas, Félix, lui, est devenu très courageux. On ne le « traita » plus jamais à l 'école, et il se maria avec Amélie. Marion fut la demoiselle d 'honneur et Eloïse et Julie, invitées d 'honneur. Ils eurent trois filles : l 'aînée, Marion et les deux petites jumelles, Julie et Eloïse. Quand il y avait pour invités Julie, Eloïse ou Marion, on disait : « la petite Julie et la grande Julie », « la petite Eloïse ou la grande Eloïse », et enfin « la petite Marion ou la grande Marion ».
Mais, la grande Julie, la grande Eloïse et la grande Marion n 'avaient pas tout à fait oublié leur mort à la fin de cette histoire de la bibliothèque hantée.
D 'ailleurs, la grande Marion a toujours dans son tiroir le livre de « la bibliothèque hantée ».

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Petits animaux du village

Petit renard,

Est très veinard,

Il prend son car,

Tard, le soir.

 

Petit chameau,

Est très très beau,

Il boit de l'eau,

Sur son pauvre dos.

 

Petite grenouille,

Est très patouille,

Elle aime les nouilles,

Puis elle se mouille.

 

Petit serpent,

Est très patient,

Il aime le sang,

Mais n'a pas de dents.

 

Petit village,

Est très très sage,

Il n'y a pas d'âge,

Dans les parages.

 

Un mariage pas comme les autres

 

Voici que s'ouvre un grand passage
Pour s 'ouvrir à une tradition
Qui se nomme « Mariage ».
Comme ce mariage est rempli de mystères
Et absolument étrange,
Tous les invités présents au repas
Portent un collier bizarre.
La personne qui nous accueille
Nous parle avec un léger accent.
A sa taille
Est accroché un oiseau mort
Paré de magnifiques plumes.
Elle nous invite à participer
Au grand festin de cet exceptionnel mariage.

/

Amour d 'un chien

Le bonheur d 'un chien,
C 'est de le respecter,
En lui donnant un câlin,
Par son maître adoré.

Qu 'il ait ou pas une cravate,
Peu importe qu 'il ait deux ou trois pattes
L 'important, c 'est de l 'aimer,
Et de donner toute son amitié.

On dit que le chien est le meilleur ami de l 'humain,
Parce qu 'il aime tout ce qu 'on aime,
Même s 'il n 'a pas de mains
Il mériterait un baptême.

Gardez à jamais ce bon chien auprès de vous,
Après tout,
Un chien ami
C 'est pour la vie.

 

 

Vincent

Pour mon chien, Bill

L'enquête Petitpeton

MINUIT... UN GRINCEMENT SINISTRE... UNE PORTE QUI CLAQUE... UN CRI TOUT PROCHE QUI S ' ETEINT SOUDAIN...
Mr. Petitpeton dormait tranquillement après une dure journée de travail comme contrôleur de cornichons en boîte quand son réveil fut interrompu par une succession de bruits étranges. Intrigué, il enfila rapidement quelques habits, sortit de sa chambre d'hôtel et s'avança dans le couloir... *
Mr. Petitpeton s'avançait toujours et, au bout du couloir, vit Mme.Bigoudi étendue, par terre, avec une tache de sang au niveau du ventre.
Mr. Petitpeton ne put s'empêcher alors de crier...
Après une bonne dizaine de minutes, Mr. Petitpeton essaya d'appeler la police, mais il avait oublié qu'aujourd'hui, toutes les polices de France faisaient une géante grève nationale...
Il entendit donc:
« PAS DE POLICE!
Y'EN A MARRE DES SACRIFICES! »
tûûûût... ça a raccroché!
Mr. Petitpeton essaya d'appeler des enquêteurs, mais eux aussi participaient à cette grève bizarre...
Il entendit pratiquement la même protestation:
« PAS D'ENQUÊTEURS!
Y'EN A MARRE DES SERVITEURS! »
tûûûût... ça a encore raccroché!
Mr. Petitpeton ne savait plus quoi faire!
Il réfléchit...
Une demi-heure plus tard, Mr. Petitpeton avait comprit: il fallait qu'il fasse lui-même l'enquête!
Ca tombait bien, Mr. Petitpeton avait justement pris deux semaines de vacances; il allait donc avoir tout le temps qu'il fallait!
Mais par où commencer?...
Heureusement, étant petit, Mr. Petitpeton avait fait un stage de 4 ans comme enquêteur.
« Il faut d'abord relever les empreintes! » déclara-t-il, se rappelant de son stage.
Evidemment, il avait tout le matériel nécessaire que lui avait donné Mr. Pasunbruit ( son enseignant), mais lui l'appelait Maximilien ( c'était son prénom ).
Au fait, le prénom de Mr.Petitpeton, c’était Marc.
Il examina donc la salle et effectivement trouva une empreinte digitale sur la poignée de la porte.
A l'aide de son ordinateur, il chercha à qui appartenait cette empreinte.
Il chercha jusqu'à 17 h puis quitta son ordinateur et alla voir dans la salle s'il y avait d'autres indices.
« Aucun! Déclara-t-il, étonné.
- Cet agresseur doit avoir des années d'expérience! continua-t-il.
Il alla poser des questions dans tout l'appartement mais personne n'avait entendu les cris de Mme Bigoudis la nuit dernière.
Il retourna chercher sur son ordinateur.
Le lendemain matin,Mr Petipeton voulu retéléphoner à la police et aux enquêteurs mais ce fut la même scène que la dernière fois.
- Ils ont décidé de prolonger la grève nationale jusqu'à la fin de la semaine! cria-t-il.
Il rechercha jusqu'à la fin de la semaine sur son ordinateur l'empreinte digitale.
« BINGO ! » hurla-t-il de toutes ses forces.
« BINGO ! répéta son perroquet apprivoisé.
- Ah! c'est toi Croquis. Viens voir là, j'ai trouvé à qui appartenait l'empreinte sur la porte: Mr.Martin. »
Il alla l'arrêter et se dirigea vers le poste de police, espérant qu'il soit ouvert.
Arrivé devant, il vit que c'était fermé.
« Zut! »
A ce moment là:
« Surprise! Joyeux anniversaire, Marc! S’exclamèrent les amis de Mr Petitpeton.
- On avait tout prévu pour te faire une farce d'anniversaire! reprit l'un d'eux.
- Mais oui! C'est vrai! C'est mon anniversaire! s'exclama Marc Petitpeton se souvenant soudain.
-Mais...mais alors...Mme.Bigoudis n'est pas morte!
-Non! reprit un autre. C'était de la sauce tomate!
Tout le monde éclata de rire et Mr.Petitpeton continua:
-Allez! Venez tous chez moi! On va fêter ça!

FIN

Le coeur magnifique

Profite

Du temps

La clarté

Dévoile la fleur

Pétillante

 

 

 

FIN