Agathe
Je m 'appelle Agathe. J'ai 9 ans, j'habite près de Saint Omer de Blain. J'ai un bélier, une brebis. J'adore le steak-frites. J'ai une soeur, Orianne. Ma mère est institutrice en maternelle et mon père est maître nageur àla piscine de Blain.
J 'aime bien la Conjugaison, la lecture et les Arts Plastiques. Je fais du théatre et de la harpe. Ma mère fait du violon, mon père de la guitare. Ma soeur est au lycée et aime le dessin. Mes copines : Hannah, Laura, Chloé, Axelle. Mes copains Thomas, Gaëtan. Je n'aime pas les coquilles Saint-Jacques.
Je n'aime pas les endives, les champignons et les aubergines.
Pour m'écrire,cliquez sur la boîte aux lettres
A quoi sert l'école
L'école sert à apprendre des choses: les Mathématiques,la lecture, à écrire, à apprendre la conjugaison, la grammaire.. Ca sert pour quand on aura un métier, pour qu'on ne demande pas ce qu-il faut faire. Ca sert aussi pour se faire des amies et des amis .
Cet été je suis allée en Belgique, puis je suis allé chez mon papy et ma mamie pour son anniversaire.
Plus tard, je suis allée chez mon autre mamie. Son mari est mort, avant que je sois née et puisqu'on était là-bas on, est allée à l'anniversaire de ma grand mère et nous avons fini le reste des vacance chez moi.
Je fais du théâtre,
je lis beaucoup, et j'adore le dessin. J' aime aider ma mère à
faire la cuisine.
J'aimerais bien faire du cheval. J'adore l'Egypte ancienne, comme Néfertiti,
Toutankhamon, Cléopâtre, Ramsès 2, Hatshepsout.
J'ai lu les quatre Harry Potter en un mois et demi. J'aimerais bien avoir
une chatte rousse.
Il était une fois un chat qui vivait en Chine. Il aimait bien les maisons chinoises, mais il y avait un problème : les chinois mangeaient les chats et les chiens. Une fois, il a failli passer à la casserole. Et puis, un jour, il décida changer de pays, et alla en Egypte. Là-bas, les chats étaient protégés, car il y avait une déesse à tête de chatte, Bastet. Quand il arriva en Egypte, il rencontra une jeune et belle fille, la fille du Pharaon. Comme elle vit qu 'il était abandonné, elle l 'adopta.
En Egypte ancienne, il y avait beaucoup de dieux : Ré, dieu du soleil, Osiris, dieu des morts, les sept dieux de la colère et du désert, Isis, déesse, mère dévouée, Thot, dieu des scribes & La déesse hippopotame, elle, aide la mère pendant l'accouchement.
Il était une fois une sorcière
qui vivait en pleine forêt, (mais je ne peux pas vous dire où
sinon vous y iriez tous). Elle avait des cheveux verts, les ongles longs.
Elle avait un chat noir et aussi une chouette et un hibou. Ils avaient tous
les deux des yeux jaunes et luisants. Sa maison était tout noire comme
sa robe et ses yeux.
On peut la voir les jours de pleine lune, sur son balai volant. Il faut bien
regarder, car elle est difficile à voir.
Le premier du mois les sorcières se retrouvent pour échanger
leur potion et elles en savent plus.
Dans le ciel, il y a un château et elles vont acheter leurs fournitures
là bas. Le visage de la sorcière de la forêt est ovale,
elle a le nez pointu et le menton crochu. On la connaît bien, c'est
la sorcière la plus forte.
Elle avait une fille et sa fille allait a l'école des sorciers et elle
avait tout le temps 20/20. Sa mère lui a acheter un chaudron et des
ustensiles et lui appris des potions.
Une jeune et belle fille , jouait
très joliment de la harpe. Quant elle jouait sa musique nous charmait
,la salle sifflait ,tapait dans ses mains et criait . Elle jouait dans l'opéra
de Paris . Au bout de quelques années, elle devint une grande star.
Une autre grande star qui voulait être comme elle essaya de tout faire
pour l'empêcher de jouer : par exemple lui casser sa harpe ou de lui
voler ses partitions et toutes les autres méchancetés que l'on
peut faire.
Mais, un jour , un spectateur se demanda ce qu'elle faisait et il alla chez
la jeune fille. Il sonna et la vit en pleur, et lui dit :
" Pourquoi pleurez-vous et pourquoi ne faites-vous plus de concert? "
Elle lui raconta tous ses malheurs .
" Ne vous inquiétez pas, on va aller vous chercher une autre harpe
et je vous aiderai à faire des autres partitions "dit le spectateur
qui ajouta :
" je m'appelle Benoît.
- Et moi c'est Axelle . "
Et ils s'en allèrent acheter la harpe .Quand ils rentrèrent,
il demanda :
" Peux-tu m'apprendre à jouer de la harpe ? "
Et elle lui répondit :
" Oui. "
Lili mange des pissenlits.
Pierre regarde du lierre.
Margaux fait un gâteau.
Lolita fait un tas.
Benoît range du bois.
Bill va en ville.
Simon ramène du thon.
Ronan a un paon.
Cindy pousse des grands cris.
Noloi va chez les rois.
Orianne voit un âne.
Romane donne une banane.
Solange est un ange.
Anaïs mange du maïs.
Monique pique.
Il était une fois, en Afrique un village avec beaucoup de cases. Plusieurs femmes pilaient du mil. Ce village était près du fleuve Okavango. Dans ce village habitait une petite fille de 8 ans qui s'appelait Lana : c'était la fille du chef. Lana était jeune et belle. Son père, Kongo n'était pas de ce village. Sa femme était la plus belle femme de ce village.
Le village où les parents de Kongo vivaient était de l'autre côté de l'Okavango. Lana voulait aller voir ses grands-parents.
Ses parents avaient dû céder à son désir, car elle était grande. Donc un jour de beau temps, elle partit les voir.
Alors qu'elle traversait le fleuve, une tribu ennemie, les Pachas, l'enleva. Ses amis, les tigres à dents de sabre, qui avaient vu Lana se faire enlever, accoururent. La nuit, ils essayèrent de rentrer dans le camp, mais la tribu des Pachas les repéra.
Ce fut l'alerte. Les tigres établirent une stratégie. Le soir même, ils la réalisaient : plusieurs tigres firent diversion, tandis que d'autres, par derrière, délivrèrent la prisonnière. Lana les remercia. Puis, elle reprit son voyage. Mais au milieu du fleuve, elle rencontra des crocodiles qui retournèrent sa pirogue. Lana cria "au secours !". Les tigres à dents de sabre, qui avaient entendu, chassèrent les crocodiles, mais difficilement : les tigres n'aiment pas l'eau. Un quart d'heure après elle arriva au village de ses grands-parents. Son papi et sa mamie étaient très contents.
Mais un jour où Lana et sa mamie étaient près du fleuve Okavango, elles virent les Pachas. Aussitôt elles crièrent : « au secours ! »et le village fut alerté. Lana et sa mamie retournèrent au village de Lana prévenir Kongo. Après 2 semaines de combat Kongo gagna. Cette nouvelle alla loin dans le monde.
Un jour, dans un parc, il y avait des
chiens et aussi une jolie et grande maison. Dans celle-ci, il y avait cinq
femmes plus deux servantes dont une cuisinière et une femme de chambre.
Dans la maison, il y avait quatre chambres : une pour la plus jeune, Miriana,
une autre pour l' aînée, Lison, une autre pour Lilia,
la mère, une pour la mamie, Mathilde, une pour la tante et une pour
le mari de Lilia. Les servantes, elles, étaient logées dans
des cabanes dans le parc. Miriana s' habillait en pantalon et robe rose, Lison
avec une robe rose, Lilia en robe blanche avec une peau de guépard,
Mathilde en robe violete, la cuisinière en robe verte et la femme de
chambre en robe noire avec un tablier blanc.
Lison et Lilia avaient toutes les deux une mamie. Le mari de Lison, Matthieu,
portait souvent une chemise blanche avec une cravate à pois verts sur
fond blanc,et un pantalon gris. Il travaillait comme banquier dans la plus
grande et noble banque de Paris. Jorge, le
mari de Lilia était gentil. Il s' habillait souvent de chemise grise
avec une veste et un pantalon noirs. Il était chef dans une entreprise
de voitures Citroen. Les deux maris étaient riches. Lison était
en dernière année de fac. La mamie était retraitée.
Lilia ne travaillait pas. Miriana étudiait en première S au
lycée de Paris. Lison faisait aussi, le mercredi après-midi
de 14 heures à 18 heures, de la danse à l' opéra de Paris.
Elle était danseuse étoile. Elle faisait aussi de la chorale
et elle était la meilleure.
Maintenant, passons aux choses sérieuses.
C' était en A917, j' avais alors 3 ans. Dans cette maison, un jour
de décembre, le 22, je me souviens qu' à 9 heures du matin les
chiens aboyèrent. Une voiture blanche entra dans le jardin. Deux femmes,
Lison et Lilia, étaient dans la voiture. Lilia était allée
chercher Lison à la fac. Quand elles entrèrent, la tante Augustine
pénétra dans la pièce, habillée d' une robe bleue.
Elle n' était pas très gentille. La cuisinière Marguerite
sortit de la cuisine pour préparer le déjeuner : c' était
de la brioche avec de la confiture. Il y avait aussi du jus d' orange. Tout
le monde, sauf Jorge, était debout. La servante prit de la brioche,
la tartina de confiture de fraise, et versa du jus d' orange dans un verre,
puis mis le tout sur un plateau. Elle rentra dans le salon. Elle demanda à
Lilia si elle pouvait aller porter le déjeuner à Jorge. Lilia
lui répondit :
« Oui, mais dans une demi-heure. »
Elle lui expliqua aussi :
« Jorge à fermé la porte à clé. »
Quand elle dit ça, il était exactement 9 heures et demi.
A 10 heures, la femme de chambre Eloïse alla dans la chambre de Jorge.
Quand elle regarda, elle poussa un énorme cri : tout le monde se précipita
sur elle et Lison demanda :
« Qursquo;est-ce qursquo;il y a ? »
Eloïse ne répondit rien.
« J;ai compris, dit Miriana, Jorge est mort assassiné ! »
Tout le monde était en larmes. Lison affirma :
« L' assassin est encore dans la maison !
- C' est sûr, mais c' est bizarre, les chiens n' ont pas aboyé,
répondit Marguerite.
- Je vais voir ! s' exclama Matthieu. »
Il revint dix minutes plus tard. Il apprit à la famille :
« Les chiens sont endormis. L' assassin les a endormis.
- Que va-t-on faire ? demanda Mathilde.
- Je ne sais pas.
- On peut appeler la police, proposa Lilia. »
Lison prit le téléphone et composa le numéro.
« Allo ! Allo !
- Tu ne peux pas, expliqua Augustine, le téléphone est coupé.
- J' aurais fait pareil si j' étais l' assassin, annonça Miriana.
- C' est désolant car c' est bientôt Noël, fit remarquer
Lilia. »
Un jour passa, dans deux jours se serait Noël.
« Aujourd' hui,je vais au cimetière en voiture, expliqua Lilia.
Elle sortit prendre la voiture, mais elle revint cinq minutes plus tard :
« Le moteur est fichu !
- J' irai à pied,déclara Lilia. »
Un quart d' heure plus tard, elle revint et expliqua :
« Je n' ai pas pu sortir car la neige bloque le portail.
- On va essayer d' escalader le muret et d' enlever la neige, déclara
Lison. »
Ainsi fut fait, mais personne n' arriva à faire ce qu' avait proposé
Lison. Ils rentrèrent épuisés. Lison annonça :
« Comme hier on ne pouvait pas sortir, on va donc explorer la maison
et on va trouver l' assassin. »
Mais ils avaient beau chercher, ils ne trouvèrent rien. Lison déclara
:
« Si l' assassin n' est pas là, ça veut dire que l' un
d' entre nous est le meurtrier. On va donc tous dire ce qu' on a fait la nuit
du meurtre. Lilia, commence !
- La nuit, je n' avais pas envie de dormir, j' ai donc regardé la télé,
mais vers minuit, il n' y avait plus rien d' intéressant, donc j' ai
lu. Un quart d' heure plus tard, j' ai entendu « aaaaah ! », mais
je croyais que Miriana avait fait un cauchemar. »
Marguerite expliqua qu' elle était en train de lire et qu' elle s'
était endormie aux environs de une heure du matin.
Augustine, elle, raconta ceci :
« Moi, je n' ai pas fermé l' œil de la nuit car Miriana
a lu jusqu' à 11 heures. Après, je ne suis pas parvenue à
me rendormir.
- A toi, dit Lison à Miriana !
- J' ai lu jusqu' à 11 heures, après je me suis endormie, mais
à 12 h 15, j' ai fait un cauchemar.
- Moi, commença à raconter la mamie, j' ai dormi comme une carpe.
- J' ai tout le temps dormi. Hein, Lison ? expliqua Matthieu. »
Lison fit oui de la tête.
« Et toi, Lison, demanda Miriana ?
- Moi, j' ai dormi et je peux vous dire que quelqu' un de nous ment.
- Attendez, dit la cuisinière. »
Et elle sortit. Quand elle revint, on entendit « pan ». Marguerite
s' étala de tout son long. Tout le monde se précipita vers elle,
on la transporta dans la chambre de Lison. Quelques minutes plus tard, on
su qu' elle n' avait rien. Le coup de feu était pour qu' elle se taise.
Quand elle fut sur pied, elle expliqua :
« Personne n' est le meurtrier, car j' ai vu Jorge debout. Tu peux sortir
de ta cachette, Jorge ! »
Il apparut et raconta :
« J' ai voulu vous faire peur et savoir ce que vous feriez et comment
vous réagiriez si quelqu' un d' entre nous mourrait.
- Et bien, tu le sais maintenant, répliqua Lilia. »
Vous vous demandez peut-être comment j' ai su tout ça ? Et bien
simplement, Lison l' a dit à ma mère et ma mère me l'
a dit !
Il était une fois une princesse jeune et belle .Elle
s 'appelait Miriana .
Elle vivait dans un grand château à la lisière de la forêt
.Dans celui-ci, il y avait une
cuisine , un salon ,une salle à manger, dix-neuf chambres, dix-neuf
salles de bain : une par chambre, deux salles de bal et quatre pièces
pour étudier, un immense jardin avec des palmiers car dans la région
, il faisait chaud.
Dans cette famille, il y avait huit garçons et neuf filles et plus
d 'une centaine d 'ouvriers.
Miriana étudiait beaucoup, était douée pour le dessin,
les maths, la géographie, le français, l 'orthographe,
la conjugaison et le vocabulaire, enfin pour presque tout. Elle adorait faire
de la musique. Elle jouait de la harpe, du piano, du violoncelle et de la
contrebasse. Elle était très contente.
Mais un jour, une méchante femme l 'enleva. Le roi promit deux
mille pièces d 'or en échange de sa fille et de celle ou
celui qui l 'avait enlevée.
Beaucoup de personnes participèrent à sa recherche. Mais au
bout de dix semaines, personne ne l 'avait retrouvée.
Un jour, la nouvelle alla jusqu 'au château d 'un prince.
Celui-ci partit le jour même à la recherche de Miriana. Quatre
semaines plus tard, il trouva une grotte, mais il y avait plusieurs entrées.
Il passa par l 'une d 'elle, mais au bout d 'un moment, il
vit d 'autres entrées, mais il aperçut la couronne de la
princesse devant une entrée, et il alla là où il avait
vu la couronne. Puis il vit une dame et Miriana. Sans faire de bruit, il détacha
la princesse et attacha la dame qui dormait et amena la dame et la princesse
au château de Miriana .
Il était une fois, au temps des gaulois, une petite
fille.
La fille était celle du chef. La tribu habitait près de l 'Océan
Atlantique. La fille du chef s 'appelait Lilia, elle aidait souvent sa
mère. Sa maison était la plus grande du village. Elle avait
trois chambres, une cuisine , un salon, une salle du trône et un endroit
où on pouvait se laver. Lilia adorait faire son petit jardin. Elle
faisait pousser des lilas, des coquelicots, des pâquerettes, des géraniums
et comme arbres, des marronniers, des pruniers, des pommiers, des poiriers
et des cerisiers. Lilia faisait un potager avec sa mère avec des citrouilles,
des potirons, des courgettes, des petits pois et des z 'haricots. La
mère de Lilia s 'appelait Narqua. Elle avait un jardin, avec du
muguet, des tournesols. Dans le jardin, Narqua faisait pousser aussi du blé
et du maïs.
Lilia avait un frère qui s 'appelait Lirons, mais on l 'appelait
« Tête d 'âne » car il était nul à
l 'école. Mais Lilia, elle, était douée. Son père,
le chef, Quolor, était bien aimé du village.
Narqua élevait des moutons, des cochons et des vaches. Lilia adorait
aller promener les moutons.
À ce moment, c 'était Noël. Lilia avait froid car
l 'hiver était rude.
Mais un jour où Lilia allait promener ses moutons, elle tomba dans
un piège : un trou était creusé et le trou était
recouvert de bois et de feuilles. Elle demanda à ses moutons d 'aller
voir son père et de bêler. Tout de suite, les moutons allèrent
au village et bêlèrent, mais le père de Lilia ne se soucia
pas des moutons. Le soir, Narqua alla dire à Quolor : « Lilia
n 'est pas rentrée, mais les moutons, eux si. ». Son père
demanda aux moutons de lui dire où est Lilia et ils allèrent
au trou. Mais ils trouvèrent le trou vide. Les romains avaient emmené
Lilia. Tête d 'âne trouva un casque de centurion. Sans se faire
voir, il partit au camp romain le plus proche et il vit les romains devant
sa soeur. Quand le père de Lilia s 'aperçut de la disparition
de Tête d 'âne, il annonça au village sa découverte.
Les hommes du village allèrent au camp romain. Ils trouvèrent
Tête d 'âne et quelques minutes plus tard ils établirent
une statégie : c 'était d 'assommer le légionnaire de
garde, puis d 'entrer dans le camp et de délivrer Lilia. Ils réussirent
et rentrèrent au village.
Pendant quelques années, ils réussirent à bien vivre.
Un jour, où Lana allait avec sa mère au lac Longo pour
chercher de l 'eau, elle entendit un bruit bizarre. Elle alla là où
elle avait entendu le bruit, mais elle ne vit rien.
Quand elle retourna au village, des personnes disaient : « On a volé
de la viande ! » Lana alla voir les récoltes de mil dans le grenier.
Quand elle ressortit, elle annonça aux villageois : « Il n 'y
a plus de mil dans le grenier ! » Le village avait beau chercher, il
ne trouvait plus trace des récoltes.
Le lendemain matin, Lana retourna à Longo et elle entendit à
nouveau le bruit qu 'elle avait entendu le jour précédent.
Elle se dirigea vers le bruit. Quand elle arriva, elle remarqua d 'abord des
empreintes, puis une ombre.
Lana suivit alors l 'ombre. Quand l 'ombre s 'arrêta, Lana découvrit
une grotte devant l 'ombre. Dans cette grotte, il y avait toute la nourriture
de son village.
Alors Lana bondit sur l 'ombre. Avec courage et le couteau que son
père lui avait fabriqué, elle fit une entaille dans la peau
de l 'ombre.
Lana découvrit que c 'était un robot. Elle se rendit compte
qu 'elle avait juste entaillé le tissu qui recouvrait le mécanisme
et coupé les fils du circuit électrique.
Lana repartit au village.
Lorsqu 'elle arriva, elle expliqua tout aux villageois.
Quelques minutes plus tard, Lana les conduisit à la grotte, pour qu
'ils l 'aident à rapporter la nourriture au village.
Le soir même, les villageois firent une grande fête en l 'honneur de la fille du chef : Lana. Puis, ils allèrent se coucher à minuit.
Les habitudes reprirent, mais Lana était soucieuse, car
le monstre étaient un robot, donc le monstre avait un constructeur.
Lana se disait que celui qui avait fait le robot pouvait en fabriquer d 'autres.
Et avec des robots c 'était facile de détruire des villages.
Le jour suivant, Lana retourna à la grotte du monstre. Elle cherchait
si il n 'y avait pas de trappe. Elle essaya de pousser des pierres de la grotte
mais elle n 'arriva pas à trouver des entrées. Lana retourna
au village.
Pendant la nuit, elle réfléchit encore. Elle se dit que les
arbres de la forêt pouvaient abriter la trappe.
Le lendemain elle partit à sept heures du matin et rentra à
vingt heures mais elle n 'avait rien trouvé. Pendant la nuit, elle
réfléchit encore : peut-être qu 'un des rochers à
côté de la grotte, abritait la trappe ?
Le matin suivant, Lana se leva à huit heures, mangea sans se presser
et partit à dix heures. Elle rentra à midi et expliqua au village
que près de la grotte, il y avait une trappe.
Les villageois suivirent Lana jusqu 'au rocher. Les femmes sont restées
au village. Les hommes sont habillés dans leur tenue de combat, tandis
que Lana est revêtue d 'un habit que lui à cousu sa mère.
Le chef suivi de Lana et des hommes descendirent dans la trappe. Ils trouvèrent
un chemin souterrain.
Sans se faire repérer, ils suivirent le chemin. Au bout du chemin,
ils virent le chef des Pachas et trois hommes dans une pièce souterraine.
Dans la pièce, ils virent également cinq autres robots mais
ils n 'étaient pas finis, heureusement !
Les villageois se glissèrent derrière le chef des Pachas. Ils
les ceinturèrent : le chef des Pachas était obligé de
se rendre. Les hommes de la tribu des Pachas finirent les robots et les donnèrent
à la tribu de Lana.
Lana et les villageois rentrèrent au village triomphants.
Ils refirent une fête en l 'honneur de Lana !
Dans le pays d'Egypte, il y avait une fille, c'était la fille du pharaon
Ramsès II. Le palais du pharaon était gigantesque : cent chambres
, quatre salles de banquet, cent salles de bain (une pour chaque chambre )
et deux cuisines .Il y avait aussi un grand jardin et une allée avec
plein de statues. Comme arbres, il y avait : des figuiers , des palmiers ,
des géraniums et des saules pleureurs. Le palais était près
du Nil. Dans la ville il y avait cent mille personnes.
La fille du pharaon s'appelait Cléopâtre. Elle allait souvent
se promener en bateau sur le Nil avec ses courtisanes. Cléopâtre
apprenait le chant, la danse, la musique et à tisser. La femme de Ramsès
II était Néfertiti . Tous les matins Ramsès allait voir
les prêtres laver et habiller la statuette de plusieurs dieux . Après
ça, les prêtres faisaient des offrandes et chantaient les rites
sacrés. Le matin, Cléopâtre et ses parents mangeaient
du pain, de l'orge et buvaient du lait de chèvre. Avant de manger,
ils faisaient goûter leurs aliments par un goûteur Le matin, quand
Ramsès était en train de regarder les rites sacrés, Cléopâtre
s'habillait en robe de lin ,avec un beau collier orné d'une amulette,
son maquillage était dans des pots. Ramsès recevait tout les
jours un conseiller, des habitants de la ville qui donnaient les impôts
et des scribes. Cléopâtre avait neuf ans, les filles n'allaient
pas à l'école. Les garçons de parents pauvres allaient
à la chasse et à la pêche . Les filles de parents pauvres,
elles, allaient apprendre à coudre, à dessiner et à faire
la cuisine.
Cléopâtre allait avoir une petite sur : elle ne serait
plus enfant unique. Elle voyait souvent un prêtre nommé Baîspte
dont on disait qu'il voulait être le pharaon.
Un un an passa, le bébé était né mais au lieu
d'être une fille, c'était un garçon. Après la mort
de Ramsès II, ce serait le petit frère de Cléopâtre,
qui s'appelait Ramsès III qui règnerait. Le pharaon mourut trois
jours après la naissance. La femme de Ramsès II allait tous
les jours au temple superviser les étapes pour préparer l'enterrement
du pharaon .Tout d'abord, on enlevait le cerveau par les narines. On enlevait
également tous les viscères. Après on lavait le corps
puis on l'embaumait. Néfertiti allait aussi regarder la confection
du sarcophage. Un mois passa. On mit le défunt dans la pyramide. Baïspte
était en rage car le bébé était né avant
la mort du pharaon. C'était Baïspte qui avait empoisonné
le pharaon car il ignorait la naissance de Ramsès III. Si il n'était
pas né, c'était Baïspte qui serait devenu le pharaon.
Quelques années passèrent et Ramsès III avait huit ans
et commençait à régner. Ramsès III se répétait
qu'il ferait tuer celle ou celui qui avait assassiné son père.
Cléopâtre allait voir et faire des offrandes à son père.
Les après-midi, elle allait prier les dieux et disait : "Chers
dieux, faites que l'on découvre ceux qui ont tué Pharaon ! "
Mais Cléopâtre croyait que les dieux ne l'avait pas entendue.
Baïspte se demandait " Que vais-je faire ? Je n'ai pas pu être
le pharaon. " Il se décida à parler à Ramsès
III pour le convaincre de quitter le pays. Il alla demander une audience à
Pharaon :
" Bonjour , oh Pharaon.
- Que veux-tu ?
- Je veux vous prévenir, car la mort de votre père, fait que
quelque chose de mal va vous frapper, si vous ne partez pas tout de suite.
- Je te remercie de me prévenir, et avant de partir, je te donnerai
vingt pièces d'or. "
Le pharaon fit venir l'argent.
" Je te remercie et au revoir. "
Le roi alla faire ses bagages et partit. Tout le monde était triste
car la ville aimait beaucoup Ramsès.
Après son départ, Cléopâtre commença à
régner. Baïspte était content car il n'avait plus que deux
personnes, Cléopâtre et sa mère, à éliminer
et après, à lui le trône ! Cléopâtre qui
avait entendu la conversation entre Ramsès et Baïspte était
allée au temple. On lui avait répondu : "C'est faux ! "Elle
envoya dix gardes à la recherche de Ramsès. Elle fit chercher
par la garde Baïspte et lui dit :
" J'ai entendu ce que tu as dit à mon frère.
- Ma reine, c'est très mal d'écouter une conversation qui
- Ça suffit, tu voulais prendre la place de Ramsès
- Mais
- J'ai dit ça suffit. Tu voulais prendre la place de Ramsès
II, celle de mon frère et bientôt la mienne et celle de ma mère.
- C'est faux !
- Quand j'ai entendu ce que tu as dit à mon frère, je suis allée
voir les prêtres et ils m'ont répondu que rien de tel n'avait
été prédit.
- Ce sont des mensonges, et en plus, il y a une machination !
- Quand on m'a prévenu que Ramsès était parti, j'ai envoyé
des gardes à sa recherche.
- Je le dis et je le répète : c'est faux !
- Tu vas aller en prison jusqu'à ce que l'on retrouve Ramsès,
mais si par malheur on le retrouve mort , on te tuera pour le meurtre de mon
père et pour avoir fait partir mon frère de son pays pour prendre
sa place !
- Ce n'est pas vrai !
- Et aussi pour avoir menti !
- Je n'ai pas menti !
- Quand te décideras-tu à dire la vérité même
si je la sais ?
- Je n'ai rien à dire de tout cela car je n'ai rien fait !
- Tu répliques ! Gardes , emmenez-le dans le cachot ! "
Un mois plus tard, on vit revenir les gardes et Ramsès vivant. Tout
le monde était ravi. Ramsès alla dans la salle du trône
et dit :
" Merci beaucoup Cléopâtre !
- Ce n'est rien, tu vas reprendre ton règne.
- Comme tu m'as sauvé la vie, je te laisse régner à ma
place !
- Mais
- C'est moi le pharaon, je t'ordonne de régner ou alors d'être
ma conseillère !
- Je préfère la deuxième solution !
- D'accord, alors viens. "
Ils allèrent au balcon où Ramsès expliqua au peuple :
"Je voulais que Cléopâtre règne à ma place,
mais elle n'a pas voulu, donc elle va être ma conseillère. "
Pendant des années, tout se passa très bien .
Le corbeau
Sur la branche nue d' hiver
Le corbeau chantonne
La douce brise d'étè
la rivière
L'eau dans la rivière
ruisselle
La poésie s'éveille
La montagne
Sur la plus haute montagne
Le chamois cabriole
La lune veille
Dans la ville de Paris , une fille qui s appelait Bérengère
vivait dans un appartement. Elle portait souvent une robe violette
et des chaussures également violettes. Elle avait des cheveux noirs.
Elle était agent secret. Son associé était Mr Steed.
Elle travaillait pour un monsieur qu on appelait Mère-grand.
Un jour, Steed, qui habitait dans un autre appartement vint voir Bérengère
et lui expliqua
« Nous devons aller à l hôpital !
-Pourquoi ?
-Un archéologue est mort d un coup de poignard dans le ventre
. »
Quand ils arrivèrent à l hôpital, ils allèrent
dans une chambre et demandèrent à un médecin de ne pas
venir dans la pièce.
« Etrange !commença Bérengère, je vois que la cause
de la mort n est pas due uniquement au poignard.
-Comment ça ?
-Sûrement que l assassin a tiré une balle avant, et que
le coup de poignard n est venu qu après. »
Le médecin entra dans la pièce.
« J avais demandé que l on ne nous dérange
pas !
-Oui, mais un autre archéologue est mort ! Je vous laisse. »
Le médecin repart.
« Cet homme a eu également une balle et un coup de poignard.
-Oui, commenta Bérengère .
-Mais comment savoir d où venait le corps.
-Des Côtes d Or !
-Mais comment sais-tu ça, Bérengère ?
-Le couteau vient des Côtes d or !
-Allons-y, on y trouvera sûrement un indice.
-D accord ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait, et une heure plus tard, ils étaient
en Côtes d Or.
Bérengère alla demander à un épicier où
on pouvait trouver un camp archéologique. L épicier lui
répondit : « Sur la côte. »
Bérengère sortit et dit à Steed :
« C est bizarre, pourquoi y-aurait-il des archéologues
sur la côte ?
-Oui, c est sûr ! »
Quand ils arrivèrent au camp, un vieil archéologue les accueillit
et dit :
« Vous êtes sûrement Steed et Bérengère.
-Oui, c est ça ! Mais pourquoi travaillez-vous ici ?
-Nous travaillons là, car une personne nous a averti qu il y
avait des vestiges de la préhistoire ! Mais on n a encore rien
découvert.
-C est bizarre tout ça , expliqua Steed. Nous allons rester ici
pour surveiller les archéologues, autrement, ils risquent de tous mourir
! »
Steed et Bérengère allèrent visiter le camp. Ils trouvèrent
une grotte et, à l intérieur, ils trouvèrent Monsieur
Jean, mort, avec un poignard et dix balles dans le ventre. Comme il y avait
déjà trois morts, il restait six archéologues. La question
que se posait Steed et Bérengère était : « Pourquoi
le meurtrier s en était pris à des archéologues
? »
Pendant la nuit, Steed et Bérengère montèrent la garde
à tour de rôle. Mais, le lendemain matin, il y eut un nouveau
mort : Monsieur Jean Sébastien. Steed et Bérengère conclurent
que l assassin n était pas venu de l extérieur,
ce qui voulait dire que c était un des archéologues. Ils
demandèrent à tous de se rendre devant la tente pour parler.
L un ne pouvait pas tuer la nuit, car avant de dormir, il prenait des
somnifères.
Il y eu plein de bonnes raisons pour que ce ne soit pas un des autres archéologues.
Mais un autre ne pouvait rien dire car il était muet. Steed se demandait
bien pourquoi il faisait croire qu il était muet : dans sa chambre,
il parlait souvent le soir. Il s appelait Sébastien. Un jour,
Bérengère et Steed virent Sébastien essayer de tuer Marco,
un autre archéologue. Steed et Bérengère sautèrent
sur lui, et sans le faire exprès, ils déchirèrent ses
habits. Bérengère cria :
« Sébastien a des plaques dans le dos ! Steed, est-ce que tu
peux me donner un tournevis et une paire de pinces ?
-Bien sûr, mais pourquoi ?
-Je vais arrêter le robot car il est assez fort. »
Bérengère ouvrit sans difficulté le robot et elle coupa
les fils.
« Le robot est fabriqué à « Robot récré
, Côte d Or ».
-J irai, affirma Steed. »
Quand il arriva au magasin, il demanda :
« Avez-vous déjà vendu un robot qui s appelle Sébastien
?
-Non, répondit très normalement le vendeur !
-Existe-t-il un autre magasin qui a le même nom que vous ?
-Non, répondit le vendeur (qui ne voulait rien dire de plus).
-Eh bien merci et au revoir ! »
Quand Steed rentra, il raconta à Bérengère que le marchand
n était pas très sympathique et aussi qu il mentait.
« Je vais garder le campement pendant que toi tu iras surveiller le
marchand, affirma Bérengère.
Quand Steed arriva au magasin, il vit Monsieur Robiston, un archéologue,
qui rentrait dans le magasin. Monsieur Robiston alla dans la cave du magasin.
Il s assit dans un fauteuil. Un homme vêtu d un capuchon
noir entra dans la pièce.
Monsieur Robiston déclara :
« Sébastien s est fait prendre par deux détectives
envoyés par Mère Grand !
-C est sûrement Steed et Bérengère !
-Oui, c est exactement ces deux-là. Ils risquent de tout faire
rater.
-Eh bien je te donne deux mille euros de plus que la somme prévue,
pour faire disparaître Steed et Bérengère !
-Bien sûr, mais il me faudra trois hommes !
-Ropone, Bistome et Lotone par exemple !
-Bien sûr, la récompense pour ce travail fera un million cent
mille huit cent cinquante euros.
-D accord, mais méfie-toi d eux et ne tue les archéologues
que quand il n y aura plus les détectives.
-Bien sûr ! »
Steed avait surpris toute la conversation. Il se dépêcha de retourner
au camp avant de se faire prendre. Il rentra au camp sans difficulté.
Mais quand il alla devant la tente où était Bérengère,
il trouva un mot :
Steed,
Viens me retrouver à la grotte
Où on a trouvé Sébastien .
Bérengère
Steed s empressa d y aller. Mais il ne vit pas Bérengère.
Steed se dit qu elle était sûrement dans le fond de la
grotte. Il s avança, mais une
ombre entra dans la grotte et assomma Steed. L ombre l emmena
dans un passage souterrain. Des personnes le ligotèrent à côté
de Bérengère car elle aussi était prisonnière.
L homme au capuchon noir arriva dans la grotte :
« Tu as bien travaillé, je te donne les deux milles euros, commença
l homme au capuchon noir, maintenant fais l autre partie de ton
travail, tu recevras la totalité de la somme promise.
-Bien sûr, mais &pour eux ? dit Monsieur Robiston en désignant
Steed et Bérengère.
-Tu les surveilleras. »
Monsieur Robiston sortit de la grotte et un homme les surveilla.
« Qu est-ce qu on fait ? demanda Bérengère
à Steed.
-Ils vont nous donner à manger. On leur demandera du « Tabasco
». Ainsi nous pourrons brûler nos liens. Il faudra d abord
maîtriser notre gardien. »
Sitôt dit, sitôt fait, et après que le garde leur ait apporté
le « Tabasco », Steed le frappa à la tête, le garde
fut assommé. Puis Steed essaya d enlever ses liens avec le «
Tabasco ». Mais il n y arriva pas. Puis il s aperçut
que le gardien avait une lime sur lui. Steed réussit à couper
ses liens et ceux de Bérengère. Ils s enfuirent par les
bouches d aération de la grotte.
« Qu est-ce qu on fait maintenant ? On va prévenir
la police ?
-Oui, mais fais attention, les brigands arrivent !
-Cachons-nous derrière ce rocher.
-Bien, ils sont passés. Je vais m occuper d eux pendant
que toi, tu vas prévenir la police, expliqua Steed. »
Bérengère courut au poste de police.
Pendant ce temps, Steed entra dans la grotte avec un pistolet à la
main.
« Messieurs, veuillez-déposer vos armes sans discuter et veuillez
aussi lever vos mains, déclara Steed. »
Mais malheureusement, l homme au capuchon noir avait un petit pistolet.
Quand Steed déposa son arme pour attacher les prisonniers, l homme
au capuchon noir pris le pistolet dans sa main, ainsi que celui qui était
par terre. L homme ordonna à Steed de venir. Steed s approcha
&et donna un grand coup de pied dans le ventre de l homme. A ce
moment précis, la police arriva dans la grotte, et les méchants
furent arrêtés.
Au commissariat de police, les hommes ne voulaient pas parler car ils avaient
peur de se faire condamner à au moins dix ans de prison. On voyait
bien que Monsieur Robiston tremblait comme une feuille.
« Mais comment les faire parler ? demanda Steed.
-Peut-être en les frappant avec un dictionnaire ? questionna Bérengère
.
-Non, ça leur ferait trop mal, mais avec un bottin peut-être &
fit remarquer Steed.
-Oui, nous allons faire comme ceci , affirma le commissaire. »
Le commissaire pris un gros bottin. Il menaça de taper la tête
de Monsieur Robiston et déclara :
« Tu vas parler ?
-D accord ! dit aussitôt Monsieur Robiston, tout tremblant. Monsieur
Stomme (l homme au capuchon noir) voulait avoir les fouilles archéologiques
pour lui tout seul, comme ça, si il faisait une découverte,
c est lui qui aurait l argent !
-Lâcheur ! cria Stomme.
-Tais-toi, ordonna le commissaire.
-C est vous qui avez tué les archéologues ? interrogea
Steed.
-Non, c est le robot, déclara Monsieur Robiston. »
La troupe de méchants fut condamnée à vingt ans de prison.
Quand Steed et Bérengère rentrèrent chez eux, Steed déclara
à Bérengère qu ils avaient bien mérité
des vacances aux Antilles.
Ils partirent deux jours plus tard.
1er chapitre : le sorcier
Ill était une fois, à la lisière d un
bois, un château, où habitait un sorcier.
Il s appelait Wildrick. Avec ses cheveux noirs plaqués en arrière,
il ressemblait à un vampire.
Sa robe noire portait des toiles d araignée. Wildrick était
marié à une dénommée Virginie. Elle se vêtait
du même genre de robe que son mari et se coiffait de chapeaux noirs
ornés de serpents.
2ème chapitre : le menu
Un jour Wildrick décida de faire un banquet sans prévenir
sa femme.
Pour le repas ,
Apéritif : oreilles de vache à la sauce de limace
Entrée : plat de grenouilles au jus de chaussette
Plat de résistance : soupe à l araignée
Dessert : caméléon caramélisé
Wildrick alla faire les courses et quand il revint, il prépara
le banquet. Il fit la liste des invités : Véronique et Vernon
les parents de Virginie, Didier et Françoise ses parents.
3ème chapitre : la super- soirée
Le mardi soir à 9 heures, les invités arrivèrent, ils rentrèrent dans la salle et Wildrick alla chercher Virginie qui ne savait encore rien. Quand Virginie arriva elle s exclama « c est merveilleux !» Quand ils eurent fini de manger, Wildrick ouvrit le bal. Ils se couchèrent à minuit.
4ème chapitre : les vacances
Le lendemain matin, Wildrick demanda
« On pourrait aller en vacances à hôtel sorcier- vacances.
- Oui ce sera merveilleux.
- Fais tes bagages tout de suite, on part avec la voiture volante. »
Sitôt dit, sitôt fait .2h après ils arrivèrent à
hôtel sorcier- vacances.
Ils allèrent au guichet et Wildrick demanda
«Je voudrais une chambre avec un lit pour deux, une salle de bain et
un salon.
-D accord, vous resterez combien de temps ?
-Nous resterons une semaine.
-Vous voulez avoir une carte pour pouvoir aller à la piscine ?
-Bien sûr.
-Votre chambre est la 8, suivez- moi !
Ils passèrent une agréable semaine. Quant ils durent partir,
l agréable s enfuit.
5ème chapitre : la terreur
Quand ils eurent fini de ranger, les habitudes reprirent. Wildrick demanda
«Quel est ce bruit ?
-Je ne sais pas ! »
Ils allèrent dehors et virent un troll très méchant.
Wildrick leva sa baguette, le troll se précipita sur Wildrick mais
avant que le troll ne puisse le toucher, Wildrick le tua en lançant
un sort.
Dans le château, il fut fêté comme un héros. Virginie
était fière de son mari.
6ème chapitre : le ménage
Wildrick demanda à Virginie
« On pourrait faire un ménage de printemps dans le château
?
- Oui, mais par où commencer ?
-Notre chambre a besoin d être nettoyée.
Nous allons changer les draps, ils sont trop vieux.
- D accord et après ?
- Ensuite on va remplacer la tapisserie car elle est lugubre.
- Allons-nous remplacer les rideaux, ils sont déchirés ?
-Bien sûr et après nous irons manger, ensuite, nous nous occuperons
du salon. »
Quant ils eurent tout fini, ils entrèrent dans le salon.
Wildrick expliqua :
« Je vais teindre les canapés en bleu car le noir ne fait pas
joli.
- Oui, et après je vais dépoussiérer la pièce.
Leur tâche terminée, ils passèrent à la cuisine.
Virginie affirma :
« Je vais laver la vaisselle.
- D accord moi, je répare le four. »
Puis ils allèrent dans la salle de bain.
« Je vais réparer la douche et les WC, pendant
ce temps-là, tu balaieras. »
Ils firent ceci pendant toute la journée et quand ils allèrent
se coucher, ils se dirent qu il ne restait que le jardin.
7ème chapitre : le jardin
Le matin suivant Wildrick et Virginie mangèrent puis allèrent
dans le jardin. Wildrick dit
« Il faudrait enlever l allée des arbres, ils sont sombres
et ce n est pas joli, je mettrai des fleurs à la place.
- Oui, moi je ferai une cabane pour mettre les outils de jardinage. Puis je
ferai des plantations. Je ferai également une cabane pour les oiseaux.
»
Quand ils eurent finit, ils appelèrent Françoise et Didier.
Quand Françoise et Didier arrivèrent, Wildrick et Virginie leur
montra le château et le jardin.
8ème chapitre : la chance
Le lendemain matin, on sonna à la porte. Wildrick alla
ouvrir, il vit que des journalistes de la gazette des sorciers étaient
là. Wildrick demanda
« Que désirez-vous ?
_ Nous voulons avoir une interview.
_ Oui mais pourquoi de moi et Virginie ?
_ Car on nous a informé que vous avez rénové une maison
et ça nous intéresse beaucoup. »
Quand les journalistes de la gazette furent partis Wildrick prépara
le déjeuner et appela Virginie.
9ème chapitre : l anniversaire
Aujourd hui c est l anniversaire de Virginie. Quand Wildrick
eut fini de manger, il partit au village à la ménagerie pour
acheter à Virginie un chat noir comme cadeau. Quand Virginie vit le
chat elle sauta au cou de Wildrick. Le chat sauta du carton où il était
prisonnier ; il commença à tout détruire. Wildrick attrapa
le chat mais le chat réussi à s en aller. Wildrick sortit
sa baguette lança un sort pour l immobiliser. Mais le chat devint
de plus en plus redoutable. Wildrick téléphona à des
personnes qui peuvent stopper des créatures magiques. Mais ils n arrivèrent
qu une heure après. Wildrick enferma le chat dans une pièce
assez moche. Wildrick se vêtit d habits de protection. Il alla
dans la pièce où était enfermé le chat. Wildrick
pensait que le chat était ensorcelé.
Pendant ce temps là, Virginie essaya de remettre de l ordre dans
les pièces mais rien ne se réparait, les dégâts
devenaient de plus en plus graves. Wildrick de son coté se dit :
« Il n y a que Serpenteau, le méchant sorcier qui pouvait
faire ce coup là. »
Wildrick alla voir sa femme et lui dit
« Je suis sûr que notre vieil ennemi a trafiqué le chat
!
_ Mais qu allons-nous faire ?
_Je vais aller, avec des personnes arrêter Serpenteau !
_Mais il est très dangereux !
_Je vais réfléchir toute la nuit car on dit que la nuit porte
conseil. »
Le lendemain Wildrick annonça à Virginie
« Je vais partir, avec des grand sorciers chez Serpenteau pendant ce
temps, tu répareras les dégâts.
- Mais si je lance un sort pour réparer, ça devient encore pire.
- Dans ce cas-là, tu répares à la main comme chez ceux
qui ne sont pas sorciers. »
10ème chapitre : Serpenteau
Un jour passa, Wildrick et les autres sorciers furent devant
la colline maudite : c était là que Serpenteau habitait.
Wildrick alla frapper à la porte et demanda à Serpenteau d arrêter
de lui faire des méchancetés.
« _ Tu m as humilié durant toute mon enfance et maintenant,
c est à moi de te faire souffrir.
-Tu arrête où nous donnons l assaut. »
Wildrick et les hommes lancèrent plein de sorts et Serpenteau riposta,
mais soudain Wildrick lança un sort pour pétrifier et le sort
arriva sur la poitrine de Serpenteau. Les hommes arrêtèrent Serpenteau
qui expliqua à Wildrick comment faire pour le chat.
Quand Wildrick arriva chez lui il enleva le sort au chat.
Lundi soir, je suis allée voir les Choristes, ma note est 20/20. Ca parle d'un garçon qui s'appelle Morange, qui reçoit un cahier avec les histoires de son enfance. C'était le meilleur de la chorale que Mathieu, leur pion, avait fait.
Ma soeur Orianne a eu 18 ans. En cadeau, elle avait un DVD,
le roi et l'oiseau, un carton à dessins, un autre DVD, Pretty Woman,
un des cartes postales de Pirates des Caraïbes et des crayons rechargeables.
Chapitre 1
Il était une fois une petite fille qui s appelait
Anne-Marie .
Un soir, Anne-Marie rentra chez elle très fatiguée. Ce soir-là,
sa mère, Marine, avait fait des endives, le plat préféré
de Anne-Marie . Mais quand elle mangea ses endives, elle dit à sa mère
:
« Je n aime plus ça ! »
« Eh bien, déclara son père, vas manger un dessert et
prépare-toi pour aller au lit ! »
Anne-Marie ne se fit pas prier. Quand elle fut endormie, elle fit un drôle
de rêve : elle rêva qu une petite lutine devenait sa meilleure
amie.
Le matin suivant, Anne-Marie trouva sur son oreiller & la lutine !
Elle était exactement comme dans son rêve : jaune avec des cheveux
noirs luisants.
Anne-Marie eut un sourire jusqu aux yeux.
Elle se prépara pour aller dans la salle à manger, mais quand
elle allait quitter la pièce, la lutine se réveilla. Anne-Marie
alla chercher de la nourriture pour elle et la lutine.
Quand Anne-Marie dut partir pour l école, elle mit la lutine
dans son cartable.
Sur le chemin de l école Anne-Marie croisa Cunégonde .
C était la meilleure amie d Anne-Marie .
Devant le portail, Anne-Marie et Cunégonde s arrêtèrent
net :il y avait devant, Marie-Ange Migorait, l ennemie d Anne-Marie
et de Cunégonde . C était une fille égoïste.
Marie-Ange raconta à Anne-Marie :
« Tu devrais être mon amie plutôt qu être la
copine de Cunégonde ! »
La cloche sonna, tous les élèves se mirent en rang.
La maîtresse s appelait Anne-Laure. On fit l appel de la
cantine puis la maîtresse distribua des feuilles sur le plus que parfait.
À la récréation, Anne-Marie joua au loup et à
la fin de la récré Anne-Marie se dit qu il faudrait qu elle
ne révèle à personne l existence de la lutine.
La journée s écoula. Le soir, sur le chemin du retour,
Anne-Marie sortit la lutine de son sac. Elle lui cria :
« Je me suis cognée à tous les livres, tu pourrais mettre
moins de choses dans ton cartable !
-La prochaine fois, je te mettrais dans ma poche. »
Le soir, Anne-Marie se dépêcha de manger et de se préparer,
puis elle alla chercher à manger pour la lutine. Anne-Marie dit :
« Je vais te faire un lit bien douillet. »
Quand elle eut fini, elle alla se coucher.
Le lendemain matin, quand elle devait partir, elle alla chercher la lutine
et la mit dans sa poche. Là, la lutine fit apparaître un casque.
Le midi, quand personne ne la voyait, Anne-Marie mit de la nourriture dans
sa poche.
Chapitre 2
10 /10
Le soir, en rentrant, Anne-Marie sortit la lutine de sa poche.
Aussitôt, la lutine lui affirma :
« Heureusement que j avais un casque, ta poche est pleine de cailloux
mais avec tes mouchoirs je me suis fait un lit .
-La prochaine fois, je te mettrais dans mon chignon.
-Bien, je vais dormir, fit remarquer la lutine qui s appelait Valentine.
»
Le lendemain matin, Anne-Marie mit la lutine dans son chignon. Elle était
à l aise.
Le matin, Anne-Marie avait un contrôle en table de multiplications,
et Anne-Marie était nulle en maths. Dans la classe, elle était
à côté de Cunégonde . La cloche sonna. Les élèves
rentrèrent en classe. Anne-Laure distribua les feuilles de contrôle.
Comme Anne-Marie avait des trous de mémoire, la lutine lui souffla
toutes les réponses, et en deux minutes, elle eut tout finit.
La maîtresse lui mit 10 sur 10. La lutine lui avait soufflé toutes
les réponses car dans le chignon, elle était confortablement
installée et voulait ainsi remercier Anne-Marie .
Marie-Ange Migorait s était aperçue que Anne-Marie avait
une lutine. Le midi, Marie-Ange passa derrière Anne-Marie et lui vola
Valentine.
Quand ils rentrèrent, la maîtresse distribua les feuilles d un
contrôle de la table de 11. Marie-Ange demanda à la lutine de
lui souffler les réponses. Mais Valentine , pour se venger, lui donnait
de mauvaises réponses :
« 11 x 2 = 124 ou 4 x 11 = 314 ! »
La maîtresse lui mit 0 sur 11.
Marie-Ange était en colère et tapa deux grosses fois la lutine
Valentine .
Le soir, quand Anne-Marie rentra chez elle, Anne-Marie s aperçut
que Valentine n était plus là. Elle courut dans sa chambre
et pleura pendant trois heures. Quand sa mère l appela elle la
vit en pleurs. Elle demanda :
« Pourquoi pleures-tu ?
-Je ne retrouve plus Valentine ,la lutine qui était sortie de mon rêve
!
-Dans la classe, qui veut être la meilleure ?
-Marie-Ange Migorait, c est une vraie peste !
-Ça pourrait être Marie-Ange qui a volé la lutine ! »
Anne-Marie voulut faire un plan pour récupérer la lutine Valentine.
Le matin suivant, Anne-Marie passa derrière Marie-Ange Migorait et
elle vit Valentine dans une cage dans le chignon de Marie-Ange .
Chapitre 3
Sauvetage
Pendant la récréation Anne-Marie demanda à
Marie-Ange Migorait :
« Je peux te coiffer ?
-Non, mais tu peux jouer avec moi !
-D accord, mais Cunégonde peut jouer avec nous ?
-Bien sûr !
-On peut faire l équilibre ? proposa Cunégonde .
-Oh oui ! renchérit Anne-Marie
-Je commence ! » expliqua Marie-Ange Migorait.
Quand Marie-Ange fit la roue, la cage qui retenait Valentine tomba dans les
mains de Anne-Marie. Cunégonde ouvrit la cage de la lutine et Valentine
alla se cacher dans le cartable d Anne-Marie. Cunégonde sortit
de sa poche une poupée qui ressemblait très bien à Valentine,
et la mit dans la cage. Anne-Marie remit la cage dans le chignon de Marie-Ange
Migorait.
Le soir quand Anne-Marie rentra, elle expliqua tout à son père
et à sa mère. La lutine avait très faim.
Marine et son mari Martin voulurent bien élever Valentine comme leur
fille.
Le lendemain, c étaient les grandes vacances. Martin annonça
à Anne-Marie et à Valentine que pendant celles-ci, ils iraient
à la montagne.
Chapitre 4
La crevasse
Le premier jour des vacances, Anne-Marie et Valentine firent
les bagages. Valentine fit apparaître des skis à sa taille et
à celle d Anne-Marie.
La famille partit le soir même.
La famille Pipolet, c est à dire la famille de Cunégonde
, partit avec celle d Anne-Marie.
Cunégonde fit le voyage dans la voiture d Anne-Marie et de Valentine.
Le lendemain matin, la troupe arriva dans les Alpes. Les trois filles prirent
leurs skis et demandèrent des provisions et des affaires pour pouvoir
escalader les flancs rocheux de la montagne. Elles partirent sur le champ.
Au bout d une heure de marche, le téléphone portable (que
la mère d Anne-Marie avait prêté) sonne. Anne-Marie
répondit. C était la mère d Anne-Marie qui
voulait savoir si tout allait bien et pour dire aussi que ce soir, les trois
filles dormiraient chez leur oncle et leur tante qui habitaient un chalet
sur le Mont-Blanc.
Une heure plus tard, une crevasse se forma sous Anne-Marie . Elle tomba. Vite
, Cunégonde saisit le téléphone et appela la mère
d Anne-Marie et ses parents, puis la police et les ambulances. La lutine
était allée rejoindre Anne-Marie . La lutine était magicienne.
Elle fit apparaître une corde. Elle s en servit comme les cow-boys
et lança son lasso autour d un gros rocher. Valentine dit à
Anne-Marie de monter à la corde mais Anne-Marie avait la jambe cassée.
Valentine fit apparaître alors un brancard. Elle attacha le brancard
à la corde. Valentine fit glisser Anne-Marie sur le brancard et le
fit remonter par magie. Elle monta elle-même sur le brancard. L hélicoptère
des pompiers arriva et alla chercher Anne-Marie et Valentine .
Les parents d Anne-Marie remercièrent beaucoup Valentine car
seuls les enfants ou des personnes plus petites que les enfants pouvaient
entrer dans la crevasse.
Plus tard, ils allèrent à l hôpital pour voir Anne-Marie
. Ils lui apportèrent un chat. Anne-Marie voulait un chat depuis longtemps.
Sept jours après, Anne-Marie jouait au « uno » chez elle
avec Cunégonde et Valentine . Sur les genoux d Anne-Marie , Pimprenelle
le chat, était en train de ronronner.
Le soir même, Anne-Marie invita Cunégonde au cinéma voir
« Fanfan la Tulipe ».
Chapitre 5
Bonjour Axelle
Trois jours après avoir vu «Fanfan la Tulipe »,
Anne-Marie vit qu elle avait une nouvelle voisine.
Anne-Marie alla lui dire bonjour.
« Bonjour , je m appelle Anne-Marie !
-Merci d être venue me souhaiter la bienvenue dans le quartier.
Moi je m appelle Axelle.
-Tu veux venir dans ma maison jouer avec moi et Cunégonde ?
-Je veux bien !
-Je vais chercher, Cunégonde !
Les trois filles jouèrent aux petits chevaux , mais Valentine ne joua
pas car Anne-Marie ne voulait pas que Axelle sache qu elle avait une
lutine .
Tous les soirs Anne-Marie , Axelle et Cunégonde firent des parties
de jeux de société.
Au bout d un mois les trois filles étaient devenues meilleures
amies.
Un mardi, Anne-Marie dit à Axelle :
« Je veux te dire que j ai une lutine ».
Axelle commença à rire.
« Pourquoi ris-tu ? demanda Cunégonde
-Car dans ma chambre j ai un lutin ! » répondit Axelle.
Axelle alla chercher Thomas, son lutin. De son côté Anne-Marie
alla chercher Valentine .
Anne-Marie , Cunégonde , Axelle, Valentine et Thomas passèrent
de belles années ensemble.
Les écoliers et les oiseaux
Dring!
( les élèves sortent , Jean , un éleve, parle d'un oiseau )
Jean : Regardez , cet oiseau et si beau !
L'oiseau: Je m'appelle Valentine !
Martin un autre élève : je voudrais l'avoir chez moi !
Valentine : j'ai envie de me promener en liberté , non dans une cage.
(Hélène une élève sort avec ses copines qui s'appelle Axelle ,Amélie ,Coralie et Marie )
Hélène : Le bel oiseau a raison , les animaux sont fait pour vivre en liberté.
Axelle : Si l'oiseau est en cage , il sera triste et ne chantera plus. La nature sombrera dans un long sommeil ! Alors que le chant de l'oiseau est si beau.
Thomas un autre élève : Regardez, voici une buse. Protégez l'oiseau, la buse veut la manger
Valentine .
(Marie prend sont manteau et le met sur l'oiseau , la buse ralentit et repart dans les airs .)
Gaetan un autre élève : Sale buse ,tu veux manger le plus bel oiseau .
Coralie :Si tu manges les oiseaux , un jour il n'y en aura plus. Peut-être un , mais c'est tout .
La buse : je ne fais ça que pour me nourrir !
Amélie : Devenez végètarienne !
Marie : Venez chez moi dans ma cave il y a plein des souris et de rat vous en raporterez chez vous .
La buse : Comment les enporterais-je .
Valentin un autre élève :Avec une sacoche . Vous les donerez a vos petits .
(Valentin et Coralie partent)
Hélène: Vous direz aux buse de ne plus manger les oiseaux .
( La lumière baise. On mais un decort de caves ,6 souris et 6 rat aparaisse .La buse et Marie arivent .)
La buse : Je ne les mange pas je les enporterais .
(Elle veut les prenndre, mais elle ne peut pas)
La chef des souris : Ne nous manger pas , nous ferons tous se ce que vous voudrez !
La chef des rat : Devenez Végétarien !
La buse : Entendu !
Marie: Pourriez -vous sortire de chez moi ?
la buse : ous vous ocuprez de mes enfant !
Le souris et les rat :Bien sur, avec joie .
( On baise la lumière et on remait le décort de l'école ).
Marrie : C'est supert !
Thomas : Pourquoi ?
Marie : L' aisse moi parler !
Amélie :Raconte !
Marie :La buse va devenir végétarien et les souris et les rat vont travailler pour la buse !
(On baisse la lumièrre , on mais le décort de la maissons de la buse .)
La buse : Entrez donc , chèr amis !
Marie :Comment vont nos amis ?
La buse : Très bien ! Souris ! Rat !
Les souris : Oui maitresse ?
Les rat : Qui a t'il ?
La buse : Voyez qui est la !
Amélie : Vous avez bonne mine !
(Les acteurs arrivent sur scène et saluent !Un acteur va chercher une pancarte ou il y a écrit"fin" dessus .