Chloé
Je m'appelle Chloé, j'ai bientôt 10 ans et j'ai un petit chat, il s'appelle Lulaby. J'ai une petite soeur de 2 mois. Mon sport préféré est la natation. J ' aime les frites et je n'aime pas les épinards. Je suis allée en Angleterre pendant les vacances. J'ai aussi un hamster : il s'appelle Chapo, l'autre est mort il s'appelait Hamtaro. J'ai aussi deux poissons, Titeuf le rouge, et Yoyo le rouge noir et blanc. J'ai une copine : Agathe. Mes dessins animés préférés sont : Titeuf, Denis la malice, Martin Matin etc. . . . . . . . . Mes films préférés sont : Charmed, Harry Potter, Charlie et la chocolaterie. Mes jeux de Playstation : Harry Potter, Panthère rose, Kirikou, Athens 2004. Je suis née le 19 Octobre 1994. Quand je serai grande je voudrais être dessinatrice de B. D. ou actrice.
Il était une
fois, un petit village tranquille. Dans celui-ci il y avait une petite école,
tellement petite qu'il n'y avait que 30 élèves et trois classes,
donc dix élèves dans chaque classe. Le peu d'élèves
étaient très polis et les maître très stricts. Pendant
trois ans tout était calme.
Un jour une famille aménagea dans
le petit village. C'était dans une maison abandonnée depuis six
ans. Il y avait toute une famille : le père, la mère, et cinq enfants,
deux garçons et trois filles. Il y avait une fille de 15 ans, une de 8
ans et une de 3 ans. Il y avait aussi un garçon de 10 ans et un de 14.
Mais cette famille était bizarre : les habitent se rendirent compte qu
' ils n'entretenaient pas la maison, il restait des toiles d 'araignées,
ils ne plantaient pas de fleurs etc. ...........
Un jour, à la rentrée
des classes, les espèces d'enfants y allèrent aussi. Une fille allait
en 2ème, une en cm1, et une en petite section ; un en 3ème, et un
en 6ème. La mère était une nouvelle maîtresse de cm1
-cm 2, et le père moniteur d ' auto-école. Mais à la rentrée,
il se rendirent compte qu 'ils avaient des drôles de noms : les filles :
Raby, Ninon et Flo. Les garçons : Yoa, seul Xavier avait un nom correct.
Ils étaient bizarres : quand il pleuvait, la pluie ne tombait pas sur eux,
ils étaient tout sec. Les yeux fermés ils traversaient la distance
du bâtiment à leur maison, sans aucune égratignure.
Trois
ans plus tard, les enfants découvrirent que c'étaient des vampires.
Ils étaient très méchants. Presque tous les soirs, on voyait
un enfant ou un collégien disparaître. C'était la maîtresse
qui les enlevait. Après, le soir, le père, la mère et les
enfants le mangeaient. C'était un garçon qui les avait vus par la
fenêtre. Toutes les soirées, vers minuit, les vampires sortaient
faire les courses, d'après ce qu 'ils avaient entendu, pour aller voler
des produits, mais pas de nourriture.
Un soir, à une heure, ils revenaient,
mais ils avaient dans leurs mains une femme mordue. C'est là que l'enfant
sut que c'étaient des vampires. Ensuite, ceux-ci rangèrent les corps
sous les cercueils qui étaient en hauteur. Dix minutes plus tard, ils étaient
endormis.
Le petit garçon avaient attendu pour qu'ils s 'endorment.
Il alla chez lui chercher un pieu et le trouva. Il alla dans la maison et prit
aussi de l'ail et une lampe de poche. Ensuite, il retourna chez les vampires qui
dormaient encore dans le cercueil. Il souleva tous les couvercles de cercueils,
mit de l'ail, alluma la lumière de la lampe de poche et mit le pieu. Tout
de suite les vampires se transformèrent en humains. En fait, c'étaient
des gentils qui avaient été transformés en méchants.
Ils devinrent copains avec le petit garçon qui avaient mis un pieu dans
le coeur pour les libérer. Ils vécurent pour toujours dans ce petit
village.
Si j'avais Si j'avais
une grande maison, Si
j'avais deux studios, Si
j'avais trois pandas, Si
j'avais quatre putois, Si
j'avais cinq Pères Noël, Si
j'avais six lapins, Si
j'avais sept chimpanzés, Si
j'avais huit balais, Si
j'avais neuf lynx, Et
enfin si j'avais dix crocodiles, |
Le ruisseau magique
Il
était une fois, une petite cabane abandonnée, où une petite
fille vivait depuis 5 ans, mais dedans il n'y avait qu'un matelas, une prise électrique
où elle avait un petit chauffage électrique, un oreiller, et une
couette. C'était dans la forêt de la joie.
Un jour d'éclipse
elle vit quelque chose, un objet en plus. Cet objet était une assiette,
mais quand l'éclipse fut passée, elle n'y était plus. C'était
en 1998.
Un jour, ce fut la tempête pendant la nuit, elle se réveilla
en sursaut, et vit de ses propres yeux, une grande table de cérémonie,
avec des couverts en or, et en argent. Elle s'était demandée pourquoi
la tempête n'avait pas détruit la maison, qui était en bois.
Un autre jour, il y avait eu une tornade, suivie d'un cyclone, et d'un ouragan.
Cinq ans plus tard, cela se reproduisit (une tornade, suivie d'un cyclone,
puis d'un ouragan). Mais là, c'en fut trop pour cette jeune fille de 15
ans, Mathilde, car c'était son nom. Elle voulut aller voir ça de
plus près, et partit à l'aventure (pour 9 mois)
Le premier mois,
elle trouva une montre, le deuxième mois, elle trouva de l'argent : cinquante
euros. Le troisième mois, elle trouva un ami, qui la suivait partout :
il s'appelait Toto, et en plus il parlait. Le quatrième mois, elle trouva
une trappe dans un arbre. Ils l'ouvrirent et se glissèrent à l'intérieur.
C'était un tunnel de 4 km. Enfin 4 heures plus tard, les 4 km étaient
achevés, ils aperçurent déjà la lumière du
jour. L 'entrée se faisait proche, à 10 mètres environ, mais
au grand étonnement de Mathilde et Toto, elle était très
loin : c'était magique. Ils mirent un mois de marche, pour enfin entrer.
C'était le cinquième mois, et ils trouvèrent des balançoires
dans les arbres, des anneaux etc.......Ils firent tous les jeux et finirent deux
mois plus tard. Le septième mois , ils trouvèrent encore de l'argent
100 euros .Le huitième mois , comme pour le quatrième , ils trouvèrent
une entrée : ils mirent une journée de marche pour atteindre celle-ci
. La une surprise les attendait derrière :il y avait le paradis.C'était
de l'herbe bien verte , un ciel bien bleu , sans aucun nuage .Une superbe piscine
, une terrase , et la piscine était chauffée , meme s'il y avait
du soleil , et qu'il faisait chaud .Un mois plus tard ils trouvèrent un
ruisseau magique , elle se rendit compte que c'était ça qui protégeait
sa maison en bois ( des tempêtes , tornades , cyclones , et ouragan . Comme
le paradis était aussi protégé, ils y vécurent heureux
avec son ami Toto pour toujours .
Le moment ou j'ai eu le plus peur
Le moment où j'ai eu le plus peur , c'était un jeudi en 1999 à huit heures , et j'avais regardé un film de Stéphan King, le film s'appelait " Il est revenu ". C ' est un film d'horreur avec un clown très méchant qui veut tuer. Je l'ai vu et j'ai eu très peur. Je me souviens encore de certaines scènes: il y a une scène où un enfant va se laver les dents et par moment il voit du sang sur le lavabo, la faïence, la baignoire....Il y a aussi une scène ou plusieurs enfants vont se promener dans un vieux cimetière ou personne n'est jamais retourné. Le cimetière était dans les broussailles, les orties, et toutes autres mauvaises herbes qui existent au monde. Il n'était plus visitable, mais ils avaient creusé un chemin. Mais un jour, quand ils s'y rendirent, ils avaient vu le clown méchant, à l'intérieur. Quand j'ai eu fini de regarder le film, pendant une semaine, tous les soirs, je repensais à ce clown .
LA PEUR MORTELLE
Monsieur Dordone sortit tranquillement de la maison de dressage des écureuils.
Une ombre sortit de derrière un arbre. À sa vue, Monsieur Dordone
prit peur et s'enfuit.
Le lendemain, un homme
prénommé Jean entra chez une dénommée Elisabeth.
Jean travaillait dans une école, et Elisabeth dans un club de judo. Il
leur arrivait d'être appelé par la police pour qu'ils apportent leur
aide à celle-ci.
Aujourd'hui encore, la police les avait appelés
car deux hommes étaient devenus fous.
À l'asile de fous, un
médecin les accueillit et les conduisit aux cabines où il y avait
les deux hommes.
« Comment s'appellent-ils ? questionna Jean .
-
Dordone et Martone, répondit le médecin.
- Quel est leur métier
? demanda Elisabeth .
- Ils travaillent tous les deux comme patron dans un
centre de dressage d'écureuils, révéla le médecin.
- Comment vous appelez-vous ? dit Jean .
- Stanard, répondit-il.
- Pourquoi sont-ils devenus fous, questionna Elisabeth ?
- Ils ont eu peur
et sont devenus fous, affirma Stanard.
- Bizarre, dit Elisabeth .
- Bien, je crois que nous allons faire notre rapport
à la police, expliqua Jean .
- Oui,
renchérit Elisabeth .
- À bientôt ! déclara Stanard.
- Oui, c'est ça ! répondirent Jean et Elisabeth . »
L e lendemain, Monsieur Mortone sortit de l'asile de fous car il était guéri. Une ombre approcha de lui. Mortone courut, puis tomba raide mort.
À
l'appartement d'Elisabeth, Jean servit du champagne à Elisabeth et dit
:
« Mortone est mort !
- Comment ? s'étonna Elisabeth .
- Mort de peur !
- Peur de quoi ?
- Je ne sais pas !
- Patte de chat
?
- Je ne crois pas !
- Pourquoi ?
- Un chat ne fait pas aussi peur
!
- Chien !
- Bon d'accord ! répondit Jean
- Que faire ? demanda
Elisabeth .
- Allons
voir sur place. »
Sur place, les policiers
enquêtaient.
« Que venez-vous faire ? demanda le policier.
- Nous sommes Jean et Elisabeth .
- Ah ! On nous a prévenu dit le policier.
- Alors, quoi de neuf ? dit Jean .
- Juste un bout de tissu qui provient du
magasin « Chloé ».
- Nous irons demain « Chez Chloé
», dit Elisabeth.
- Très bien, dit Jean , Elisabeth ,pourrais-tu
me donner des cours de judo et de karaté ?
- Bien sûr ! répondit
Elisabeth, le cours commence ce soir à 20 heures 30 ! »
Ils rentrèrent
chez eux.
À 20 heures 30, Jean se rendit
au cour de judo que donnait Elisabeth. Jean enfila son kimono. Il y avait trois
filles et six garçons. Les filles s'appelaient Agathe, Chloé et
Hannah, les garçons, Xavier, Thomas, Gaëtan, Vivien, Loïc et
Tony. Les plus fortes des filles étaient Agathe et Chloé. Les garçons
les plus forts : Xavier et Vivien.
Ils s'assirent tous en rang. Puis Elisabeth
dit à Chloé de combattre Xavier. Chloé gagna. Elle demanda
à Agathe de combattre Vivien. Et Agathe gagna.
Elisabeth dit à
Jean : «Tu vois, les filles peuvent être plus fortes que les garçons
.
- Je vois, je peux essayer de combattre quelqu'un ? demanda Jean .
-
Oui, Hannah, répondit Elisabeth .
- Bien, répondirent Hannah
et Jean. »
Jean commença à s'avancer et Hannah de même,
puis Jean s'élança et quand il atteint Hannah, elle se baissa et
Jean s'écroula par terre. Hannah en profita pour bloquer Jean. Jean se
releva honteux.
À 22 heures 30, Jean ramena Elisabeth.
Le
lendemain matin, Dortone sortit tranquillement de l'asile de fous. Une ombre gigantesque
sortit de derrière un arbre. À sa vue, Dortone prit peur et mourut.
Quand Jean et Elisabeth s'apprêtait à sortir, le téléphone
sonna.
« Je vais répondre, dit Elisabeth .
- Oui ?
-
Je suis un policier et Dortone est devant l'asile de fous et il est mort.
- Très bien, nous arrivons, expliqua Elisabeth.
- Comment ? demanda
Jean
- Mort de peur.
- Peur de quoi ?
- Patte de chat ?
- Je ne crois pas !
- Pourquoi ?
- Un chat ne fait
pas aussi peur !
- Un chien ?
- Bon d'accord ! répondit Jean .
- Je vais « chez Chloé », le magasin, et toi tu vas voir Dortone.
»
Elisabeth prit la voiture et alla au
magasin « chez Chloé ». Elle rentra et demanda si il y avait
du même tissu que celui qu'elle avait trouvé près de Mortone.
« Nous ne fabriquons plus de ce tissu noir que vous avez demandé.
- Depuis quand avez-vous arrêté la fabrication de ce tissu ?
Depuis deux semaines.
- Merci et si la fabrication du tissu reprend, vous
m'en ferez part. »
Pendant ce temps,
Jean trouva un bout de tissu noir.
« Brigadier, pouvez-vous analyser
ce bout e tissu noir ?
- Bien-sûr. répondit le brigadier. »
Le brigadier partit
avec le petit bout de tissu.
Vingt minutes plus tard, il revint et annonça
:
« Votre petit bout de tissu provient du magasin « chez Agathe
». »
Jean rentra chez lui et contacta
Elisabeth .
« Allo, fit Elisabeth
- C'est Jean, tu peux venir chez
moi ?
- Bien-sûr, répondit Elisabeth . »
Une heure
plus tard, Elisabeth arriva chez Jean.
« Alors ? demanda Elisabeth
- J'ai trouvé un bout de tissu qui provient du magasin « chez Agathe
».
- J'irai. répondit Elisabeth .
- D'accord. »
Deux heures plus tard, elle arriva et se gara à côté du magasin
« chez Agathe ».
« Bonjour, je voudrais un morceau de tissu
comme celui-ci.
Elle montra le bout de tissu noir.
- Désolé,
nous ne faisons plus ce tissu.
- Bien, au revoir. »
Elisabeth sortit.
Elle se dirigea vers l'asile de fous, un mort gisait sur le sol.
Elisabeth
alla chercher de l'aide et demanda au médecin :
« Qui était
cet homme ?
- Un patron de maison, il cherchait à dresser des écureuils,
répondit le médecin, il était là, car il était
devenu fou, comme Mortone et Dortone.
- Merci du renseignement, répondit
Elisabeth . »
Puis elle partit et alla chez Jean.
Mais il n'était
pas là.
Elisabeth ouvrit la porte et elle trouva un mot :
Je suis parti voir un dressage d'araignées.
A
tout de suite,
Jean
« Que fait-il là-bas ? se demanda Elisabeth .
Pendant
ce temps, Jean se présenta là-bas comme une personne cherchant des
araignées à dresser.
- Nous faisons des robots-araignées
pour amuser les enfants, mais nous dressons aussi des araignées pour tisser
les habits et aussi pour chercher des papiers.
- Et ces robots vous ont-ils
déjà servi ?
- Non, répondit le patron.
- Aimez-vous
les écureuils ?
- Bien-sûr, et j'aimerai diriger les maisons
!
- Merci, pouvez-vous me donner du fil jaune et rouge et dix araignées
?
- Bien-sûr. Anne-Marie, voulez-vous donner à Monsieur du fil
jaune, du fil rouge et dix araignées ?
- Je voudrai faire un tapis.
Vous savez que trois patrons de maisons de dressage d'écureuils sont morts
?
- Ah bon, non je ne savais pas.
- A bientôt.
- C'est ça.
Jean sorti du magasin.
« Bertrand et William, suivez cet homme et capturez-le.
ordonna le patron.
- Oui maître. »
Q uand Jean arriva chez
Elisabeth , celle-ci était chez Jean.
Bertrand se jeta sur Jean, puis
William se rua sur lui à son tour.
Jean fut assommé et transporté dans la cave du magasin.
Elisabeth
habitait en face de chez Jean.
Quand Jean s'est fait enlever, Elisabeth l'avait
vu et avait sauté dans sa voiture. Elle avait suivi les kidnappeurs. Elle
les avait suivit jusqu' à la cave. Avec son passe-partout, elle ouvrit
la porte. Ils sortirent tous les deux. Ils montèrent tous les deux dans
la voiture d'Elisabeth et allèrent au commissariat de police. Les méchants
se firent arrêter. Ils passèrent aux aveux. Ils avouèrent
qu'ils avaient tué les patrons Mortone et Dortone et un autre. Ils les
avaient tués avec un géant, pas n'importe lequel, un géant
robot-araignée.
Un mois plus tard, le patron de l'entreprise de dressage d'araignées réussit à s'échapper de prison.
A vous d'imaginer la suite !
LLLa pomme de terre
Ecoutez
la ballade
de la pomme de terre en salade !
Fortune ,argent, amour,
pomme de terre au four!
Chance, succès, réussite,
pomme
de terre frites!
Plaisir, gaieté, bonheur,
pomme de terre vapeur!
Je vous ennuie?
Pomme de terre rôtie!
Et bien nous allons nous taire,
moi et mes pommes de terre
...e
yyyyyyy
GHL'artichautLllLL
aaaAmenez-moi
Amenez-moi un bouillon chaud
J 'ai l 'estomac en marmelade
Préparez-moi
une bouillotte
Un élixir, une antidote
J
'ai la tête en capilotade
Apportez-moi une pommade
Je suis malaaade
Et remportez ces artichauts
La tomate
Foin des tasses de thé
Et des cravates
Pendant l 'été
Se dit le diplomate
Ecarlate
&
En savates
Moi, je m ''éclate
Au jus de tomates
Dans la classe de CM2, Lucas était
parti boire de l'eau dans les toilettes. Quand il revint, il poussa un grand
cri, et tous les élèves de la classe sursautèrent.
Clara, la plus grande, s'écria: « Tu es fou! Le plafond t'es tombé
sur la tête ou quoi? »
Maintenant, Lucas marchait comme un robot (il était tout raide) et marchait
les jambes et les bras écartés.
Clara s'exclama : « Arrête de te prendre pour un épouvantail!
» Mais Lucas n'arrêtait pas, il se dirigeait vers la maîtresse
.....Puis il la mordit!
Dix secondes plus tard, la maîtresse devint toute raide! Tous les élèves
de la classe étaient étonnés.
Maintenant la maîtresse se dirigea vers Max, et le mordit...
Alors tous les élèves de la classe, y compris Clara, comprirent
que ce n'était pas pour rire, il avait du se passer quelque chose dans
les toilettes.
Max se dirigea vers Xavier, mais Mathias lui cria que Max était derrière,
alors il courut dans un coin de la classe pour rejoindre les autres.
Ensuite la maîtresse, Lucas, et Max se dirigèrent vers eux, alors
tous les enfants coururent vers la porte et la fermèrent à double
tour.
Ils regardèrent par la fenêtre de la classe...
A suivre......
A suivre......
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HAÏKUS.
Sur la rivière des Pyrénées
un nénuphard frémit
une grenouille sort.
Dans l'obscurité
une branche craque
des oisillons chantent.